Ce dossier devait comporter en première partie des exposés de climatologues. En seconde partie parole devait être donnée à deux géophysiciens, de l' Institut de physique du globe de Paris (ici), Vincent Courtillot, qui en est le directeur [photo en provenance de l'Académie des Sciences ici], et Jean-Louis Le Mouël.
Les premiers devaient - c'est maintenant du réchauffé -ressasser la thèse, devenue religion officielle, du réchauffement climatique global d'origine humaine, tandis que les seconds auraient pu développer, pour une fois, leur thèse d' "une cause solaire au réchauffement", dont les grands médias se gardent bien de vous parler...parce qu'elle est la plus plausible.
Les climatologues se sont mis en colère contre cette promiscuité. Résultat : ils ont obtenu gain de cause. Leurs articles, qui trouvent un large écho dans les médias, jusqu'à devenir l'unique thèse, laïque et obligatoire, ne seront pas publiés. Ce n'est donc pas une perte pour eux. Mais les articles des seconds ne seront pas publiés, alors que leur thèse est toujours maintenue sous le boisseau.
Le Monde, champion de la désinformation, considère que les "climatologues" et les "climato-sceptiques" ont été renvoyés dos à dos...
A la réflexion n'est-ce pas plutôt un hommage que de mettre sur le même pied les deux thèses opposées? Sauf que la première a droit d'être citée partout ailleurs et l'autre pas.
Francis Richard
Le CNRS a censuré Vincent Courtillot. Sur ce blog les internautes peuvent le voir présenter son dernier livre :
Nous en sommes au
511e jour de privation de liberté pour Max Göldi et Rachid Hamdani (de droite à gauche), les deux otages suisses en Libye