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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 08:35

pressionsSkyfal, aka Changement climatique, ne répond plus depuis plus d'un mois, depuis le 18 février précisément (voir mon article Skyfal, aka Changement climatique, ne répond plus  ). Objetif liberté ici  avait écrit au fondateur de Free (voir mon article Skyfal fermé: le mail ouvert de Vincent Bénard au patron de Free ). Ne voulant pas tomber dans la paranoïa, compte tenu des explications de l'époque fournis par Free, et sur la foi de commentaires lus ici et là j'en avais conclu à tort que l'incident était technique et que Fred était en vacances (voir mon article Skyfal: la fermeture est technique et Fred ... en vacances )... 

Mais le temps a passé et le site de Frédéric ne répond toujours pas. Le message d'erreur 403 s'affiche toujours :

Erreur 403 - Refus de traitement de la requête (Interdit - Forbidden)




Le serveur a compris la requête, mais refuse de la satisfaire.

Une démarche d'authentification n'y fera rien et cette requête ne doit pas être renouvelée. Si la méthode invoquée est différente de HEAD et le serveur souhaite rendre public la raison pour laquelle il refuse le traitement, il le fera dans l'entité liée à cette réponse. Ce code d'état est souvent utilisé lorsque le serveur ne souhaite pas s'étendre sur les raisons pour lesquelles il refuse un accès, ou parce que c'est la seule réponse qui convienne.

Vous tentez d'accéder à une ressource qui vous est interdite.
Il se peut que le compte concerné soit suspendu (Cf. Console de Gestion)

Page précédente



Frédéric présumé parti en vacances n'est toujours pas réapparu. Il y avait donc une autre explication. Elle nous a été donnée peu à peu par Jean-Michel Bélouve - pseudonyme de Michel Bénard, papa de Vincent Bénard - sur le site Le Mythe climatique qui assure l'intérim de Skyfal ici.

Dans un commentaire ici à l'article Quelques infos à propos de Skyfal , Jean-Michel Bélouve écrivait le 27 janvier 2010:

"J’appelle Frédéric au téléphone cinq ou six fois par jour depuis une semaine. Pas de réponse. C’est Frédéric lui-même qui m’a donné ce numéro. Peut-être est-il indisponible, parti quelque part pour raison familiale ou autre. Mais peut-être aussi a-t-il peur de quelque chose. Il a été l’objet de menaces précises.
Cette explication des attaques anti-spams qui aurait été la cause de la suspension du site demande à être vérifiée, car elle vient d’un responsable des systèmes d’information du Groupe Iliad qui possède le serveur free.fr. mais la Présidence et la Direction Générale d’Iliad, à qui j’ai demandé des explications ne m’a jamais répondu
."

Dans un autre commentaire du 6 février le même écrivait :

"Je persiste à affirmer que cette « disparition » subite n’est pas normale. La communauté WordPress sera certainement alertée et mobilisée pour rechercher la vérité sur cette affaire. Il y va de notre liberté à tous de nous exprimer sur le web. Nous n’avons pas le droit de laisser tomber Frédéric".


Dans un autre du 13 février :
 

"Frédéric m’avait donné une adresse, et un nom lorsqu’il m’a commandé mon livre. Je pense qu’il s’agit de son nom et de son adresse, à moins qu’il m’ait communiqué ceux d’un ami. Vu l’éloignement, je ne peux me rendre à l’adresse indiquée, mais je pense avoir trouvé la personne de confiance qui va s’y rendre, soit pour le rencontrer, soit pour essayer de savoir par le voisinage ce qu’il est devenu."

 

Enfin Jean-Michel Bélouve pouvait annoncer le 17 février dans un énième commentaire :


"Un ami bordelais a bien voulu aller sonner chez Frédéric. Celui-ci n’a pas ouvert la porte, mais a communiqué par l’interphone, déclarant qu’il ne pouvait recevoir le visiteur, qu’il avait de nombreuses préoccupations, et qu’il ne fallait pas s’inquiéter pour lui.

C’est une bonne nouvelle pour l’ami qu’est Frédéric, à qui on ne peut que souhaiter qu’il surmonte une mauvaise passe, sur laquelle il ne s’est pas expliqué. C’est une moins bonne nouvelle pour le site Skyfal qui ne revivra pas, du moins sous la houlette de Frédéric."

Frédéric est toujours vivant, mais cela n'explique rien. Quelles peuvent donc être les "préoccupations" [la carte des pressions sur la France provient d'ici] qui ont conduit celui qui disait "même pas peur" quand  Spectro Sciences le menaçait de fermeture (voir mon article
Spectro Sciences versus Skyfal : qui est malhonnête ? ) à se terrer et à se réfugier dans un tel mutisme ?

En tout cas, saluons le courage de Benoît Rittaud et d'Araucan, qui essaient de récupérer les archives de Skyfal
ici et qui se heurtent au rouleau compresseur de Free, sans âme, totalement robotisé.

Francis Richard

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 goldi et hamdani

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30 janvier 2010 6 30 /01 /janvier /2010 09:50
dailymailClimate Gate et Glaciergate même combat : il ne faut pas éliminer comme dit le slogan qui promeut une eau minérale, il faut minimiser.

Rappel des faits sur la base d'un article limpide de Jean Martin, publié sur son site,  La Pensée Unique ici, d'où la photo ci-contre est tirée.

Le 13 novembre 2009 le Daily Mail Reporter publie un article sur la fonte des glaciers de l'Himalaya avec ce titre chaud avant le sommet du ridicule de Copenhague :

"Les glaciers de l'Himalaya pourraient disparaître avant 30 ans à cause du réchauffement global".

Cet article a de sérieuses références. En effet il s'appuie sur le 4ème rapport du GIEC, écriture sainte publiée en 2007 ici :

"Glaciers in the Himalaya are receding faster than in any other part of the world (see Table 10.9) and, if the present rate continues, the likelihood of them disappearing by the year 2035 and perhaps sooner is very high if the Earth keeps warming at the current rate. Its total area will likely shrink from the present 500,000 to 100,000 km2 by the year 2035 (WWF, 2005)".

Ce qui, traduit en français par Jean Martin, donne :

"Les glaciers de l'Himalaya sont en recul plus rapide que dans n'importe quelle autre partie du monde (voir Table 10.9) et, si le taux [NDT : de fonte] continue à son rythme actuel, la probabilité qu'ils disparaissent en 2035 et peut-être plus tôt, est très grande si la Terre continue à se réchauffer au rythme actuel. Sa surface totale passera probablement de 500.000 km2 à 100.000 km2 en l'an 2035 (WWF, 2005)."

On l'aura remarqué: le 4ème rapport du GIEC s'appuie sur une référence éminemment scientifique, le WWF, bien connu pour son catastrophisme ordinaire. Lequel s'appuie sur une référence plus ancienne, un travail de Kotlyakov publié par l'UNESCO en 1996 ici :

"The extrapolar glaciation of the Earth will be decaying at rapid, catastrophic rates - its total area will shrink from 500,000 to 100,000 square kilometres by the year 2350."

Ce qui, traduit en français par Jean Martin, donne :

"La glaciation extrapolaire mondiale (NDT : C'est à dire de tous les glaciers hors des pôles) décroîtra à des vitesses rapides, catastrophiques - sa surface totale se rétrécira de 500.000 à 100.000 kilomètres carrés aux environs de l'année 2350"

La recopie, l'imagination et le manque de rigueur, sont choses dangereuses. Jean Martin a relevé au moins 4 erreurs dans le texte du GIEC

- 2350 dans le texte de Kotlyakov est devenu 2035 dans les textes du WWF et du GIEC.

- Kotlyakov parlait de tous les glaciers du monde qui représentent une surface de 500 000 km2, le WWF et le GIEC ne parlent que des glaciers de l'Himalaya. Or la surface des glaciers himalayens est de 33 000 km2...

- les glaciers de l'Himalaya ne reculent pas plus vite qu'ailleurs : "Cogley and Michael Zemp of the World Glacier Monitoring System disent que la fonte est à la même vitesse que les autres glaciers du monde" précise Jean Martin

- la Table 10.9 du rapport du GIEC "note un recul de 135,2 m/an pour le glacier Pindari alors que le calcul à partir des deux premières colonnes donne 23,2 m/an (erreur d'un facteur 6)" précise encore Jean Martin.

Le plus beau est que ces affirmations péremptoires n'ont aucune base scientifique et qu'elles sont même contredites par les observations de glaciologues éminents, selon un article de la revue Science, publié le même 13 novembre 2009,  ici, et traduit par Jean Martin :

"Le mot de la fin est que les affirmations du GIEC sont "horriblement fausses" assure John "Jack" Shroder, un spécialiste des glaciers de l'Himalaya de l'Université de Nebraska, Omaha. "Ils ont été trop rapides pour tirer des conclusions avec trop peu de données."

La dépêche de l'AFP icipubliée dans la Tribune de Genève du 21 janvier 2009, souffle le chaud :

"Le rapport du GIEC fait autorité dans le monde en matière d'évaluation du réchauffement climatique et de ses impacts. Ses résultats sont visés par des scientifiques et vérifiés par des éditeurs."

Et le froid :

"Cette affaire pourrait constituer une nouveau camouflet pour les spécialistes du climat de l'ONU, chargés d'éclairer les décisions des politiques, après l'affaire du "climategate", le scandale des courriels piratés d'experts soupçonnés de manipuler des données pour confirmer le réchauffement planétaire, qui avait éclaté à quelques jours du sommet de Copenhague."

Mais, finalement, il faut minimiser, comme le font la plupart des médias francophones :

"LE GIEC estime cependant que la conclusion générale du rapport, qui prédit que la fonte des glaciers de l'Himalya, des Andes et de l'Hindu-Kush, va s'accélérer au XXIe siècle, est "solide" et "appropriée", et a réaffirmé que ses conséquences seraient dévastatrices."

Errare humanum est, perseverare diabolicum.

Francis Richard

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goldi et hamdani
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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 18:01
Libert-.jpgTant pis pour ceux qui se réjouissaient un peu vite de la fermeture de Skyfal. Tant mieux pour tous ceux qui s'inquiétaient du sort de Frédéric et de son forum qui est un véritable espace de liberté sur les questions climatiques.

Finalement c'est un correspondant d'Objectif Liberté ici qui a obtenu la réponse du groupe Iliad, auquel Free appartient, sur le pourquoi de cette fermeture mystérieuse ici :

jeudi 21 janvier 2010

Reponse d'Iliad

Voici la réponse qu'un correspondant d'ob'lib a eue du Directeur du système d'informations chez Iliad

"compte suspendu sur critères techniques automatiques
suite à un Spamming de sa base de données. Il peut réactiver le compte directement depuis sa console."

Dont acte.

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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 06:55
vincent-jun2007-columnA la suite de l'inaccessibilité de Skyfal, aka Changement climatique ici, Vincent Bénard [photo provenant de son site], qui est le président de l'Institut Hayek ici et l'auteur du site Objectif liberté ici,  a publié hier un mail ouvert ici à l'adresse de Xavier Niel, le patron de Free, l'hébergeur de Skyfal, mail que je reproduis ci-dessous et auquel je souscris pleinement.

Francis Richard

Mail ouvert de Vincent Bénard à Xavier Niel

A: Monsieur Xavier Niel, président, Groupe Iliad

De : Vincent Benard,

auteur,
http://www.objectifliberte.fr/
Président de l'Institut Hayek,
http://www.fahayek.org

Monsieur le Président du groupe Iliad,

De nombreux Internautes ont pu constater que le Blog d'informations climatiques skyfal, hébergé par Free.fr à l'adressehttp://skyfal.free.fr, ne répondait plus depuis le mardi 19 janvier 2010, voire depuis la veille.  Voici depuis ce temps là le message affiché par le serveur:

Erreur 403 - Refus de traitement de la requête (Interdit - Forbidden)

Le serveur a compris la requête, mais refuse de la satisfaire.

Une démarche d'authentification n'y fera rien et cette requête ne doit pas être renouvelée. Si la méthode invoquée est différente de HEAD et le serveur souhaite rendre public la raison pour laquelle il refuse le traitement, il le fera dans l'entité liée à cette réponse. Ce code d'état est souvent utilisé lorsque le serveur ne souhaite pas s'étendre sur les raisons pour lesquelles il refuse un accès, ou parce que c'est la seule réponse qui convienne.

Vous tentez d'accéder à une ressource qui vous est interdite.
Il se peut que le compte concerné soit suspendu (Cf. Console de Gestion)

Il se pourrait donc, selon les propres termes du message affiché par votre serveur, que le site skyfal ait été suspendu. Si cette hypothèse devait s'avérer justifiée, ce serait bien surprenant, car ce site n'est  ni pornographique, ni a fortiori illégal, n'a jamais, de mémoire d'internaute, incité à quelque forme de haine que ce soit, et l'on voit mal comment il aurait pu enfreindre une quelconque loi en vigueur.

Toutefois, ce site permettait à des personnes, souvent de formation scientifique, de débattre d'arguments remettant en cause le dogme dominant de la responsabilité des rejets de CO2 d'origine humaine dans les variations climatiques récentes.

Il n'aura pas échappé à votre attention citoyenne que cette question est devenu un enjeu politique fort, et que nombre d'activistes voudraient faire taire, au mépris de décennies de tradition de liberté d'expression, ceux qui contestent, au demeurant sur d'excellentes bases scientifiques, ce dogme dominant, allant jusqu'à les traiter de "négationnistes", sur le même plan que ceux qui nient l'existence de génocides historiques. Le site Skyfal s'est notamment distingué par un exceptionnel travail de traduction et de recherches lors de
l'affaire dite du ClimateGate, ignorée par les médias classiques.

De nombreuses personnes engagées, y compris financièrement ou politiquement, dans la "lutte contre le réchauffement d'origine humaine", auraient des raisons compréhensibles, à défaut d'être acceptables, de vouloir l'arrêt du site Skyfal.

D'ailleurs, le site Skyfal avait été victime de menaces, relatée sur son site, d'une publication dont le nom ne peut être retrouvé aisément (le site skyfal étant fermé !), car la publication en question s'était montrée mécontente d'un lien sur le site.

Toute ambiguïté ou insuffisance d'informations sur les raisons de l'indisponibilité prolongée du site skyfal risquerait d'être préjudiciable à l'image du fournisseur d'accès et d'hébergement free, qui a bâti sa réputation en choisissant pour raison sociale la traduction du mot "libre", et en bousculant les hiérarchies établies.

Si, comme nous sommes nombreux à le souhaiter, toute cette affaire n'était qu'un simple problème d'ordre technique ou contractuel, il serait souhaitable que la blogosphère, si prompte à bâtir de fausses rumeurs, le sache. Si, à votre corps défendant, vous avez dû appliquer quelque texte liberticide concocté par le législateur jamais avare d'atteintes aux libertés lorsqu'il s'agit d'internet, il serait également souhaitable que vous en informiez le public, pour que les faits triomphent de la rumeur et que l'image du groupe Free ne soit pas brouillée.

En tout état de cause, je me verrais ravi de transmettre votre réponse à mes lecteurs via mes blogs, et tous les moyens de promotion que l'internet 2.0 a développés.

J'espère donc, monsieur le président, et avec moi espère également toute la communauté des amoureux de la liberté d'expression sur Internet, dont je sais que vous faites partie, que le site Skyfal pourra être rétabli dès que possible dans son bon fonctionnement, et que, si un problème de nature juridique était survenu, vous ne laisserez pas dans l'inconnu des milliers de visiteurs uniques désormais orphelins.

Je précise que je n'ai aucun intérêt personnel dans le site Skyfal, juste un visiteur très régulier de ce site, mais que toute atteinte aux libertés fondamentales, et la liberté d'expression est la mère d'entre toutes, me touche particulièrement.

En souhaitant que tout ceci ne soit qu'un regrettable contretemps, et dans l'attente d'explications réclamées avec insistance par la blogosphère, veuillez agréer, monsieur le président, l'expression de ma considération distinguée.

Vincent Benard
auteur,
http://www.objectifliberte.fr/
Président de l'Institut Hayek,http://www.fahayek.org

vincent at benard point com

Copie du présent mel à diverses organisations ayant dans leurs missions la défense des libertés:

M. Vincent Ginocchio, président de l'association
Liberté Chérie,
M. Aurélien Véron, président du Parti Libéral Démocrate,
M. Louis-Marie Bachelot, président d'
Alternative Libérale,
M. Xavier Driancourt, organisateur des
cafés de la liberté,
M. Henri Lepage, président de l'
Institut turgot,
M. Alain Cohen Dumouchel, Président de Gauche Libérale

Amnesty International (service PR)

Skyfal est provisoirement hébergé par Le Mythe climatique :

http://lemytheclimatique.wordpress.com/

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goldi et hamdani

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19 janvier 2010 2 19 /01 /janvier /2010 19:10
censuréUn adepte de la religion de l'écologie politique aurait-il eu raison de Skyfal, aka Changement climatique ici ?

Déjà cet automne Spectro Sciences avait menacé le site de fermeture, pour avoir reproduit un de ses articles, sans son autorisation expresse, puis pour avoir laissé un lien vers cet article (voir mon article Spectro Sciences versus Skyfal : qui est malhonnête ? )...

J'espère qu'il ne s'agit que d'un simple incident technique et que bientôt les internautes retrouveront le site de Frédéric qui fait beaucoup, depuis des années, pour faire connaître la vérité sur le climat et sur le présent changement climatique.

J'espère qu'il ne s'agit pas d'une atteinte à la liberté d'expression sur Internet. C'est tellement facile de fermer le robinet d'accès.

En attendant l'internaute tombe sur cet avertissement de Free, qui ne porte peut-être pas bien son nom :


Erreur 403 - Refus de traitement de la requête (Interdit - Forbidden)




Le serveur a compris la requête, mais refuse de la satisfaire.

Une démarche d'authentification n'y fera rien et cette requête ne doit pas être renouvelée. Si la méthode invoquée est différente de HEAD et le serveur souhaite rendre public la raison pour laquelle il refuse le traitement, il le fera dans l'entité liée à cette réponse. Ce code d'état est souvent utilisé lorsque le serveur ne souhaite pas s'étendre sur les raisons pour lesquelles il refuse un accès, ou parce que c'est la seule réponse qui convienne.

Vous tentez d'accéder à une ressource qui vous est interdite.
Il se peut que le compte concerné soit suspendu (Cf. Console de Gestion)


Au moment de la polémique avec Spectro Sciences Frédéric avait donné les adresses de sites miroirs de Skyfal. Je suis incapable de dire si ces sites se déclinaient eux aussi sous Free...

Si un internaute qui a visité ce site à cette époque-là, a eu la bonne idée - que je n'ai malheureusement pas eu - d'en noter ne serait-ce qu'un,  il est cordialement invité à me laisser un commentaire ou à me contacter. Je me ferai un devoir de diffuser cette adresse.

Il y a un autre moyen de pression qui vient de m'être suggéré. C'est d'intervenir sur le forum de l'ADUF, l'Association des utilisateurs de Free, dont le lien est ici, pour ... manifester sa désapprobation devant ce qui ressemble bel et bien à une censure.

Francis Richard

Note du 20 janvier 2010: Un internaute m'a communiqué la note que Frédéric avait publiée quand Spectro Sciences avait menacé de fermer son site :

"Notez pour l'anecdote que ma réponse à SpectraSciences est plus ou moins la même que celle à mes lecteurs au sujet de l'éventuelle censure du billet "Hitler et le ClimateGate". Mais bon, ce n'es pas ça le plus important. Le point à retenir est que l'existence de skyfal est menacée (brrrr) et que si jamais le blog ne répond plus, vous aurez toujours l'adresse de repli http://skyfall.free.fr/ (avec 2 L). Et au pire,  skyfal.fr/ ou skyfall.fr/.

Même pas peur, mais on ne sait jamais. "

Malheureusement aucun lien ne fonctionne.

Note du 21 janvier 2010:

Skyfal est provisoirement hébergé par Le Mythe climatique :

http://lemytheclimatique.wordpress.com/



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goldi et hamdani
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9 janvier 2010 6 09 /01 /janvier /2010 22:30
Neige en Grande-BretagneChangement climatique , aka Skyfal (ici), a publié hier la traduction d'un article (ici) écrit par Richard North, dans le Daily Mail du 3 janvier 2010 (ici). Cet article est intéressant à plus d'un titre (la photo ci-contre provient d'ici).

En effet on apprend que le Met Office, l'organisme de météorologie britannique, dispose de gros moyens :

- 1500 personnes
- un budget de 170 millions de livres sterling, soit près de 280 millions de francs suisses
- un super-ordinateur qui effectue 1000 milliards de calculs par seconde

Sur ce super-ordinateur sont installés des modèles, qui sont utilisés pour faire des prévisions à court et à long terme. Or le Met Office, début septembre, prévoyait un hiver doux pour la Grande-Bretagne. En novembre il corrigeait un peu le tir : ce serait un hiver doux à 50% de chances.

Nous pouvons constater aujourd'hui combien ces prévisions coûteuses étaient pertinentes... et quels dégâts elles ont pu provoquer chez ceux qui y ont cru de bonne foi, tels que les agriculteurs, les autorités publiques ou les compagnies aériennes...

Richard North, avec un humour tout britannique, observe :

"Les modèles informatiques utilisés pour prévoir que nous allons cuire en 2030, 2050 ou même 2080, sont les mêmes que ceux utilisées pour produire les prévisions à plus court terme. Ce sont ces modèles qui nous ont dit en septembre que nous allions avoir un hiver doux."

De quoi être sceptique sur les prévisions à long terme auxquelles se livre le Met Office...

On apprend, de plus, par Richard North, quels sont les liens qui relient le Met Office au Climate Gate (voir mon article
Le "climate-gate" pourrait donner raison aux sceptiques du climat ), c'est-à-dire au CRU, le Centre de Recherche sur le Climat de l'Université d'East Anglia, et, donc, aux échanges de courriels, dans lesquels les grands pontes du moment, "scientifiques" du climat en même temps qu'adeptes de la religion du réchauffement climatique, révèlent leur vraie nature et leurs manigances.  

Richard North met en cause John Houghton, qui a été directeur général du Met Office de 1983 à 1991. Premier président scientifique du GIEC, le Groupement intergouvernemental d'experts sur le climat, après avoir assisté à la première Conférence mondiale sur l’évolution de l’atmosphère à Toronto en 1988, John Houghton a convaincu Madame Thatcher de créer, en 1990, le Hadley Center for Climate Prediction and Research, qui, fort d'une équipe de 200 personnes, est devenu "le temple de ce que d'aucuns considèrent comme la "religion" du changement climatique".

Quel rôle joue donc ce Hadley Center ?

"Son rôle crucial est  désormais bien connu car c'est ce centre, en collaboration avec l’Unité de recherche climatique (CRU) de l’Université d’East Anglia, qui produit l’un des ensembles de données les plus fiables utilisés pour suivre la température globale et nous raconter que la planète se réchauffe."

Richard North, impitoyable, nous explique pourquoi ces données sont "les plus fiables" :

"La complexité des calculs, et la part considérable de jugement humain pour choisir un nombre limité de données de température à utiliser à partir des milliers de stations météorologiques du monde entier, laisse le processus largement ouvert à l’erreur et aux préjugés. Ainsi, les résultats définitifs n’indiqueraient guère plus que l’opinion des scientifiques qui les produisent."

Il ajoute, pour bien enfoncer le clou :

"C’est là que la bonne foi et l’impartialité des scientifiques impliqués est si importante, et pourquoi le scandale du Warmergate [que j'ai appelé Climate Gate] a été jusqu’à présent si dommageable. Loin d’être d'impartiaux dépositaires de la vérité, certains scientifiques ont montré qu’ils ont des faiblesses, plus attentifs à préserver leur pré-carré plutôt que la science."

"Raison plus grande de douter de l'impartialité" du Met Office, selon Richard North :

"En 2006, il a recruté un nouveau président très controversé – Robert Napier. Décrit comme un « écologiste engagé » puis comme un « environnementaliste passionné », avant de prendre la direction du Met Office, Napier avait été pendant sept ans le directeur général du World Wildlife Fund-UK, l’un des groupes activistes les plus en vue dans les affaires de changement climatique.


Jusque-là, le WWF avait été principalement concerné par les questions de faune et de biodiversité. Il est largement admis que Napier y a ajouté le changement climatique durant son mandat, usant de sa position pour « tirer parti de la puissance et l’expérience de l’organisation tout entière », en changeant son orientation jusqu'à en faire la principale activité de l’organisation."

Dans ces conditions il n'est pas étonnant que les prévisions météorologiques ressemblent à de mauvaises prédictions et que Joe Bastardi, prévisionniste météo sur la chaîne de télévision américaine AccuWeather, cité par Richard North, ait pu annoncer, à peine quinze jours après la farce de Copenhague (voir mon article
ici), une tout autre prévision que celle du Met Office :

"Un froid tel qu'il n'a pas été vu depuis plus de 25 ans à cette échelle, va poser des problèmes aux zones grandes consommatrices d'énergie de l’hémisphère nord. Les 15 premiers jours de 2010 seront les plus froids depuis plus de 25 ans au-delà de 30 degrés de latitude nord."

Francis Richard



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539e jour de privation de liberté pour Max Göldi et Rachid Hamdani (de droite à gauche), les deux otages suisses en Libye

goldi et hamdani

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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 08:45
copenhague-neige-20091217-020La Conférence de Copenhague s'est réunie sur la foi, au moins, de deux sophismes, d'une estimation fausse et d'une contre-vérité, établis par un "consensus" de "scientifiques":

- La concentration en gaz à effet de serre, et notamment en CO2, augmente, la température moyenne de l'atmosphère augmente, donc les émissions de gaz à effet de serre sont responsables du "réchauffement climatique" global.

- L'homme émet des gaz à effet de serre, par son activité - et par sa respiration - la concentration de gaz à effet de serre augmente, donc l'homme est responsable du "réchauffement climatique" global.

- A chaque doublement de concentration du CO2 la température moyenne augmente de 3°C.

- Le réchauffement climatique est responsable de catastrophes naturelles.

Tout cela n'est pas scientifique, mais c'est diablement vendeur auprès de ceux qui n'y connaissent rien tels que les politiciens et le public dans son ensemble.

C'est diablement vendeur auprès de scientifiques qui reniflent la bonne affaire pour alimenter en subsides leurs instituts.

C'est diablement vendeur auprès de tous ceux qui ont une dent contre le capitalisme, sans lequel il n'y aurait pas eu de développement, ce dont ils se plaignent amèrement.

C'est diablement vendeur auprès de gouvernements de pays émergents - ou pas, d'ailleurs - qui trouvent là matière à réclamer des sous aux pays riches qui se seraient développés sur leur dos en réchauffant le climat et, ce faisant, seraient responsables de catastrophes naturelles chez eux.

Les pays riches, où sont nées les thèses sur le "réchauffement", par leur orgueil à prétendre tout connaître, se sont ainsi donnés des verges pour se faire fouetter le fondement, même si ces thèses en sont dénuées.

L'ennui c'est que :

- Au cours des dix dernières années la température moyenne a diminué, tandis que la concentration de gaz à effet de serre a continué d'augmenter, ce qui n'est pas la première fois dans l'histoire de la Terre.

- La part due à l'homme dans l'augmentation de la concentration de gaz à effet de serre est minime, le rôle du principal des gaz à effet de serre, la vapeur d'eau, n'est invoqué par les pseudo-scientifiques que pour justifier leur théorie et il est négligé quand il lui est contraire.

- En réalité le "pouvoir réchauffant" du CO2 est surestimé et le doublement de sa concentration ne se traduirait que par une augmentation de 0.5° C, en l'absence de tout autre facteur.

- Il n'y a pas davantage de catastrophes naturelles qu'auparavant et il est de toute façon impossible de trouver un lien de cause à effet entre le "réchauffement" et elles.

Au sujet de ce dernier point il est devenu commode d'attribuer au réchauffement tous les maux de la Terre, ce qui permet de ne pas rechercher d'autres causes. C'est ainsi que j'attribue les chutes de neige tombées hier sur Lausanne au réchauffement climatique...comme je suis sûr que les participants à la Conférence de Copenhague font de même pour leur lieu de réunion, où la neige n'était pas tombée pour Noël depuis 14 ans... (photo ci-dessus, tirée d'ici).

A quoi a abouti ladite Conférence ? (voir 24 Heures
ici)

- A limiter la hausse de la température moyenne à 2°C, en jouant de manière désordonnée sur le thermostat que seraient les émissions de gaz à effet de serre.
- A rien de précis ni de contraignant, chaque pays se contentant de prendre les engagements - d'émissions et de versements d'espèces sonnantes et trébuchantes - qu'il veut et de les annoncer quand il veut.
- A se réunir dans six mois, dans un an, pour en discuter à nouveau.

Un des mes internautes fidèles, qui n'est autre que mon fils aîné, n'a pas résisté, pour illustrer ce qui s'est passé à la Conférence de Copenhague, à rappeler à mon bon souvenir la fable de La Fontaine que voici (Livre II, II), intitulée Conseil tenu par les Rats :

Un Chat, nommé Rodilardus
Faisait des Rats telle déconfiture
Que l'on n'en voyait presque plus,
Tant il en avait mis dedans la sépulture.
Le peu qu'il en restait, n'osant quitter son trou,
Ne trouvait à manger que le quart de son sou,
Et Rodilard passait, chez la gent misérable,
Non pour un Chat, mais pour un Diable.
Or un jour qu'au haut et au loin
Le galant alla chercher femme,
Pendant tout le sabbat qu'il fit avec sa Dame,
Le demeurant des Rats tint chapitre en un coin
Sur la nécessité présente.
Dès l'abord, leur Doyen, personne fort prudente,
Opina qu'il fallait, et plus tôt que plus tard,
Attacher un grelot au cou de Rodilard ;
Qu'ainsi, quand il irait en guerre,
De sa marche avertis, ils s'enfuiraient en terre ;
Qu'il n'y savait que ce moyen.
Chacun fut de l'avis de Monsieur le Doyen,
Chose ne leur parut à tous plus salutaire.
La difficulté fut d'attacher le grelot.
L'un dit : "Je n'y vas point, je ne suis pas si sot";
L'autre : "Je ne saurais."Si bien que sans rien faire
On se quitta. J'ai maints Chapitres vus,
Qui pour néant se sont ainsi tenus ;
Chapitres, non de Rats, mais Chapitres de Moines,
Voire chapitres de Chanoines.
Ne faut-il que délibérer,
La Cour en Conseillers foisonne ;
Est-il besoin d'exécuter,
L'on ne rencontre plus personne. 

Il faudra tout de même aux contribuables des pays riches bourse délier pour prix de leur crédulité...

Francis Richard

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518e jour de privation de liberté pour Max Göldi et Rachid Hamdani (de droite à gauche), les deux otages suisses en Libye

goldi et hamdani
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15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 13:30
Glacier suisseL'alarmisme climatique n'est peut-être déjà plus ce qu'il a été. Des médias seraient-ils en train de faire leur mue ? Certes une brèche dans le mur opaque de l'écologiquement correct ne fait pas le printemps de la vérité, mais tout de même il y a de quoi se réjouir que certains dogmes soient quelque peu ébranlés.

En effet que nous apprend 24 Heures aujourd'hui [ici, d'où j'ai tiré la photo qui illustre cet article] ? Une nouvelle qui stupéfiera et attristera, momentanément, les catastrophistes du climat :

"Les glaciers suisses ont subi au cours des années 1940 une fonte plus rapide que celle actuellement observée alors même que les températures étaient inférieures".

Qui donc a vendu  à l'AFP cette mèche, reliée à de la dynamite climato-sceptique  ? Le très sérieux Versuchsanstalt für Wasserbau, Hydrologie und Glaziologie de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zürich (ici) :

"Selon leurs observations, trois glaciers étudiés depuis près d'un siècle ont fondu dans les années 1940, et plus particulièrement durant l'été 1947, à un rythme inégalé depuis le début des mesures. La moyenne des températures était pourtant inférieure à l'époque".

L'explication :

"La fonte a atteint 4% durant la période mais "ce paradoxe peut être assez aisément expliqué par les effets du rayonnement solaire" qui diminuent en fonction de la présence dans l’atmosphère de nuages ou d’aérosols - gaz et poussières - dus à la pollution ou à des causes naturelles (par exemple des éruptions volcaniques ou des tempêtes de sable tropicales), selon l’un des chercheurs de l’Institut zurichois, M. Matthias Huss".

Mais rassurez-vous braves gens :

""Le réchauffement climatique va certainement causer dans les prochaines années une fonte qui va certainement dépasser celle des années 40", a déclaré Martin Funk, chef du service de glaciologie de l’institut zurichois. "La nouveauté c’est qu’en général on associe la fonte des glaciers avec la température", a-t-il ajouté."

Certainement !

On a eu peur...

Francis Richard

L'étude est disponible (ici).

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514e jour de privation de liberté pour Max Göldi et Rachid Hamdani (de droite à gauche), les deux otages suisses en Libye

goldi et hamdani

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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 20:00

ClocheHier, dimanche, à 15 heures, des églises suisses se sont mises à sonner le tocsin, pendant 15 minutes, "contre la catastrophe climatique" [sic]. Ce sont, selon la TSR (ici), 560 paroisses de toutes confessions qui ont ainsi répondu à l'appel d'Action de carême et de Pain pour le prochain [ici d'où j'ai tiré la magnifique photo ci-contre].

Une de mes internautes fidèles m'a signalé ce délire dans un commentaire d'hier à mon article Le "climato-sceptique" Vincent Courtillot censuré par le CNRS . A 15 heures je me trouvais  dans ma maison de Chatou en France et n'ai donc pas eu à subir cette sonnerie de cloches à toute volée. Encore que, de toute façon, aurais-je été là, les oreilles des Lausannois semblent avoir été épargnées et que les miennes l'auraient été également.

Pourquoi ce tintamarre - les cloches ont sonné 350 fois, en référence aux 350 ppm de CO2 dans l'atmosphère, qui serait le taux acceptable, "selon de nombreux scientifiques" [sic] ?

"Comme dans le temps lorsque les inondations ou les incendies menaçaient : le changement climatique doit en effet être urgemment stoppé" nous dit le communiqué de presse du 8 décembre 2009, reproduit (ici).

L'internaute, qui a lu, ou lira, mon article Le grand climatologue Richard Lindzen demande de résister à l'hystérie sur le climat , sait, ou saura, qu'il est surtout urgent de tromper le public ignorant avant qu'il ne s'aperçoive que c'est du pipeau, c'est-à-dire que le réchauffement est infime et qu'il n'est responsable d'aucune catastrophe.

Les églises sont championnes de la culpabilisation fallacieuse des ouailles, au mépris de l'intelligence de ces dernières. Ce communiqué ne manque pas d'être conforme à cette fâcheuse inclination :

"Ce sont principalement les populations vivant dans des pays pauvres qui subissent les conséquences négatives du changement climatique. Sécheresses et inondations détruisent les récoltes ; le problème de la faim s’aggrave. Pourtant, l’essentiel de la responsabilité incombe aux pays industrialisés et à leurs abondantes émissions de gaz à effet de serre."

Les églises suisses ne me semblent donc pas inspirées par l'Esprit Saint, puisqu'elles sont crédules - elles se laissent tromper par un consensus scientifique de façade, celui du GIEC. Elles admettent, sans barguigner, que le réchauffement climatique est d'origine humaine, qu'il est dû aux gaz à effet de serre et qu'il est responsable de tous les maux sur Terre. Seraient-elles plutôt guidées par un esprit malin pour se faire ainsi les caisses de résonance de la nouvelle religion écologico-politique ?

En examinant la liste des paroisses (ici), qui ont participé à cette bouffonnerie, et qui seraient au nombre de 536, je remarque, avec un certain soulagement, que les paroisses catholiques se sont peu prêtées à cette hystérie climatique : 26 au total, si j'ai bien compté. Même si je suis peiné qu'une organisation catholique, telle qu'Action de carême , ait patronné pareille fumisterie.

Francis Richard


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513e jour de privation de liberté pour Max Göldi et Rachid Hamdani (de droite à gauche), les deux otages suisses en Libye

goldi et hamdani

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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 13:30

richardlindzenL'Institut Constant de Rebecque (ici) a publié le 16 novembre dernier un article de Richard Lindzen (ici) dans lequel ce dernier demande de "résister à l'hystérie sur le climat" et oppose de solides arguments à "une politique climatique irréfléchie".

Richard Lindzen est un grand climatologue [voir ici son CV
 et ici son site au MIT , d'où est tirée la photo qui illustre cet article]. Membre éminent du GIEC (ici), à ses débuts, il en a démissionné avec fracas "en 2001, considérant que les comptes rendus de cet organisme ne reflétaient plus la réalité des connaissances scientifiques, au moins pour sa partie (la validité des modèles océan-atmosphère)"[voir l'article publié par Climat sceptique en 2006 ici].

Après avoir rappelé que le climat change depuis que la Terre existe, Richard Lindzen explique dans cet article pourquoi il s'oppose à la thèse selon laquelle le réchauffement actuel, qu'il qualifie d'infime, quelques dixièmes de degrés en un siècle, serait dû à l'activité humaine :

 "Ce qui s’oppose à l’assertion que l’homme est la cause de ces changements usuels de température, c’est surtout le fait que le réchauffement causé par l’effet de serre possède sa propre signature : le réchauffement de la surface devrait être accompagné d’un réchauffement sous les tropiques à une altitude approximative de neuf kilomètres qui soit 2,5 fois plus élevé qu’en surface. Or, les mesures montrent que le réchauffement n’y est que d’environ trois quarts de ce qui est observé en surface, ce qui implique que tout au plus un tiers environ du réchauffement en surface pourrait être lié à l’effet de serre ; il est probable que même ce réchauffement infime ne soit pas dû dans sa totalité à l’activité humaine"

Il met en cause les modèles climatiques qui selon lui surestiment très largement ce réchauffement, parce qu'ils partent de suppositions infondées, et, là encore, il explique pourquoi :

"Seule, l'augmentation de CO2, ne contribue [...] que modestement au réchauffement (environ un degré Celsius pour chaque doublement de CO2). Les prédictions d'un réchauffement plus élevé des modèles climatiques sont dues au fait qu'elles supposent que les substances à effet de serre les plus importantes, comme la vapeur d'eau et les nuages, amplifient les variations de CO2. On appelle cela la rétroaction positive, ce qui signifie que les augmentations  de la température de la surface sont accompagnées de réductions de la radiation nette - augmentant ainsi le réchauffement par effet de serre. Tous les modèles indiquent de tels changements en fonction des températures observées en surface".

Le problème est que, par exemple, les données sur la radiation de la Terre récoltées par le satellite ERBE :

"montrent une forte rétroaction négative - réduisant sensiblement l'effet direct du CO2 (Lindzen and Choi, 2009), en parfaite contradiction avec les modèles. Cette analyse montre que même lorsque tous les modèles concordent, ils peuvent être faux et que cela peut être le cas pour une question aussi essentielle que la sensibilité du climat au CO2".

Richard Lindzen relève que les prédictions alarmistes du GIEC se basent sur l'hypothèse que "la sensibilité du climat au doublement du CO2 est supérieure à deux degrés Celsius" :


"Si c'était exact, nous aurions dû logiquement observer un réchauffement plus important que cela n'a été le cas jusqu'ici, et ceci même en supposant que le réchauffement observé ait été causé entièrement par l'homme".


Enfin les modélisateurs et les scientifiques - ceux qui sont restés au GIEC - sont incapables d'expliquer, sinon de manière contradictoire, pourquoi "il n'y a pas eu de réchauffement global net significatif ces 14 dernières années" :

"Les alarmistes répondent que certaines des années les plus chaudes jamais observées ont eu lieu durant la dernière décennie. Etant donné que nous nous trouvons effectivement dans une période relativement chaude, cela ne saurait surprendre. Cela ne permet pas, néanmoins, de tirer des conclusions sur les tendances futures".

D'autre part :

"Localement, d'année en année, les fluctuations de température observées sont en fait quatre fois plus élevées que les fluctuations de la moyenne globale. La plus grande partie de ces variations doivent donc forcément être indépendantes de la moyenne globale, à défaut de quoi cette moyenne varierait beaucoup plus".

Richard Lindzen va encore plus loin. Même en admettant que le réchauffement planétaire de cause anthropique soit significatif, l'alarmisme qui en résulte ne serait pas justifié :

"La population d'ours polaires, la glaciation estivale de l'Arctique, les sécheresses et les inondations, l'érosion de la barrière de corail, les ouragans, les glaciers alpins, la malaria, etc. dépendent tous non pas de la température moyenne de la surface du globe, mais d'un grand nombre de variables locales qui incluent la température, l'humidité, les nuages, les précipitations et la direction et la magnitude des vents. L'état des océans joue souvent un rôle tout aussi crucial".

Il en conclut à propos de ces prévisions catastrophiques :

"Chaque prévision de catastrophe exigerait que tous ces facteurs se meuvent dans une fourchette déterminée. La probabilité qu'une catastrophe spécifique arrive est donc proche de zéro".

Pourquoi y a-t-il donc une telle montée de l'alarmisme ? Parce que des groupes y ont intérêt :

"L'intérêt du mouvement environnementaliste à acquérir davantage de pouvoir, d'influence et de donations semble évident. Tout comme l'intérêt des bureaucrates, pour qui le contrôle du CO2 est en quelque sorte un rêve devenu réalité : après tout, le CO2 émane même de la respiration. Les politiciens, eux, perçoivent la possibilité d'augmentations d'impôts largement acceptées parce que celles-ci seraient nécessaires pour "sauver" la Terre. Différents Etats s'efforcent également d'exploiter ce thème dans l'espoir d'en tirer des avantages compétitifs".

Il ajoute, à propos du négoce des certificats d'émissions de CO2 :  

"Le potentiel de corruption est immense".

Il n'est pas surprenant d'y voir mêlés les noms d'Enron, de Lehman Brothers, pour le passé, et aujourd'hui ceux de Goldman Sachs et d'Al Gore.

Comme il est fort possible que le réchauffement se soit arrêté, en tout cas si l'on considère les 14 dernières années écoulées :

"Pour ceux dont les intérêts sont les plus matériels, la nécessité d'agir sans tarder, avant que le public ne se rende compte de la réalité, est bien réelle".

Sinon le gigantesque fromage du réchauffement pourrait bien fondre comme ... banquise de l'Arctique en été.

Francis Richard 

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goldi et hamdani

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 22:30
Portrait V CourtillotLe Monde, daté du 11 décembre 2009, sous la plume de Stéphane Foucart et Hervé Morin (ici), nous apprend que le dernier numéro de décembre du Journal du CNRS (ici) devait être consacré au "réchauffement".

Ce dossier devait comporter en première partie des exposés de climatologues. En seconde partie parole devait être donnée à deux géophysiciens, de l' Institut de physique du globe de Paris (ici), Vincent Courtillot, qui en est le directeur [photo en provenance de l'Académie des Sciences ici], et Jean-Louis Le Mouël.

Les premiers devaient - c'est maintenant du réchauffé -ressasser la thèse, devenue religion officielle, du réchauffement climatique global d'origine humaine, tandis que les seconds auraient pu développer, pour une fois, leur thèse d' "une cause solaire au réchauffement", dont les grands médias se gardent bien de vous parler...parce qu'elle est la plus plausible.

Les climatologues se sont mis en colère contre cette promiscuité. Résultat : ils ont obtenu gain de cause. Leurs articles, qui trouvent un large écho dans les médias, jusqu'à devenir l'unique thèse, laïque et obligatoire, ne seront pas publiés. Ce n'est donc pas une perte pour eux. Mais les articles des seconds ne seront pas publiés, alors que leur thèse est toujours maintenue sous le boisseau.

Le Monde, champion de la désinformation, considère que les "climatologues" et les "climato-sceptiques" ont été renvoyés dos à dos...

A la réflexion n'est-ce pas plutôt un hommage que de mettre sur le même pied les deux thèses opposées? Sauf que la première a droit d'être citée partout ailleurs et l'autre pas.

Francis Richard

Le CNRS a censuré Vincent Courtillot. Sur ce blog les internautes peuvent le voir présenter son dernier livre :


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511e jour de privation de liberté pour Max Göldi et Rachid Hamdani (de droite à gauche), les deux otages suisses en Libye

goldi et hamdani
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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 16:30

featureMoncktonLors de la 2ème Conférence internationale sur le climat, organisée à Berlin, le 4 décembre dernier par l'European Institute for Climate and Energy (EIKE), le Committee for a Constructive Tomorrow (CFACT), le Haus der Zukunft (HDZ), le Liberale Institute of the Stiftung für die Freiheit,  le  Bund Freiheit der Wissenschaft , et l' Institut fur Unternehmerische Freiheit, Lord Monckton [photo ci-contre en provenance du site du CFACT] a prononcé une conférence sur le "Climate Gate", dont Ben Palmer a eu la bonne idée de me transmettre le lien (voir son commentaire à mon article Les "climato-sceptiques" ne doivent pas désespérer Copenhague ) et dont voici la video :  

 

Lord Monckton on Climategate at the 2nd International Climate Conference from CFACT EUROPE on Vimeo.


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goldi et hamdani

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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 13:10
ban ki-moon-lChangement climatique, aka Skyfal, a publié hier une lettre ouverte (iciadressée par 141 scientifiques du monde entier à Ban Ki Moon [photo ci-contre en provenance du site des Nations Unies ici] que je me permets de reproduire, parce qu'elle est une réponse argumentée à bien des affirmations sans preuves qui fleurissent à la Conférence de Copenhague.

La version originale de cette lettre ouverte se trouve
(ici).

Bien sûr il y a fort à parier que cette lettre ouverte restera lettre morte, mais il faut saluer ces scientifiques qui osent braver la propagande totalitaire de l'écologie politique.

Pour mémoire, l'an passé, plus de 31 000 scientifiques américains avaient signé l' "Oregon petition"  (
ici).

Francis Richard

Lettre ouverte au Secrétaire général des Nations Unies

Son Excellence M. Ban Ki Moon
Secrétaire général des Nations Unies
New York, NY
États-Unis d'Amérique
8 Décembre 2009

Monsieur le Secrétaire général,


La science du changement climatique est dans une période de "découverte négative" - plus nous en apprenons au sujet de cette discipline exceptionnellement complexe et en rapide évolution, plus nous réalisons à quel point nous connaissons peu. En vérité, la science n'est PAS résolue.


Par conséquent, il n'y a aucune raison valable d'imposer des décisions de politique publique coûteuse et restrictive sur les peuples de la Terre sans d'abord fournir des preuves convaincantes que les activités humaines causent de dangereux changements climatiques au-delà de ceux résultant de causes naturelles. Avant que toute action précipitée ne soit prise, nous devons disposer de solides données d'observations démontrant que les changements climatiques récents diffèrent substantiellement de changements observés dans le passé et sont bien au-delà des variations normales causées par les cycles solaires, les courants océaniques, les changements de paramètres orbitaux de la Terre et autres phénomènes naturels.


Nous, les soussignés, qualifiés dans des disciplines scientifiques liées au climat, exigeons de la CCNUCC et des sympathisants de la Conférence sur le Climat de l'ONU de produire des preuves ISSUES DE L'OBSERVATION convaincantes pour leurs affirmations qu'il y un réchauffement global et autres changements climatiques causés par l'homme. Les projections de scénarios futurs possibles à partir de modèles informatiques du climat non prouvés ne sont pas acceptables pour remplacer les données réelles obtenues par la recherche scientifique impartiale et rigoureuse.


Plus précisément, nous mettons au défi les partisans de la thèse d'un réchauffement climatique dangereux causé par l'homme de démontrer que :

  1. Les variations dans le climat mondial au cours des cent dernières années sont nettement en dehors des variations naturelles constatées lors des siècles précédents ;
  2. Les émissions de dioxyde de carbone et d'autres "gaz à effet de serre" (GES) ont un impact dangereux sur le climat mondial ;
  3. Les modèles informatiques peuvent répliquer de façon significative l'incidence de tous les facteurs naturels qui pourraient influencer le climat de façon significative ;
  4. La mer monte dangereusement à un rythme qui s'est accéléré avec l'augmentation des émissions de GES de l'homme, mettant ainsi en péril les petites îles et les communautés côtières ;
  5. L'incidence du paludisme est en augmentation en raison des changements climatiques récents ;
  6. La société humaine et les écosystèmes naturels ne peuvent pas s'adapter aux changements climatiques prévisibles comme ils l'ont fait dans le passé ;
  7. le recul des glaciers de la planète et la fonte de la banquise dans les régions polaires sont inhabituels et liés à l'augmentation des émissions anthropiques de GES ;
  8. Les ours polaires et autres animaux sauvages de l'Arctique et l'Antarctique sont incapables de s'adapter aux effets attendus des changements locaux du climat, indépendamment des causes de ces changements ;
  9. Les ouragans, divers cyclones tropicaux et les événements météorologiques extrêmes qui leur sont liés ont augmenté en gravité et en fréquence ;
  10. Les données enregistrées par les stations terrestres sont un indicateur fiable des tendances de la température de surface.

Ce n'est pas de la responsabilité des scientifiques "réalistes du climat"  de prouver que des changements climatiques dangereux d'origine humaine ne se sont pas produits. Plutôt, c'est ceux qui proposent que cela est dangereux et promeuvent des investissements massifs pour résoudre le prétendu "problème", qui sont dans l'obligation de démontrer de façon convaincante que les changements climatiques récents ne sont pas principalement d'origine naturelle et que si nous ne faisons rien, des changements catastrophiques s'en suivraient. À ce jour, ils y ont totalement échoué.

• • • • •

Les signataires :


1. Habibullo I. Abdussamatov, Dr. Sci., mathematician and astrophysicist, Head of the Russian-Ukrainian Astrometria project on the board of the Russian segment of the ISS, Head of Space Research Laboratory at the Pulkovo Observatory of the Russian Academy of Sciences, St. Petersburg, Russia
2. Göran Ahlgren, docent organisk kemi, general secretary of the Stockholm Initiative, Professor of Organic Chemistry, Stockholm, Sweden
3. Syun-Ichi Akasofu, PhD, Professor of Physics, Emeritus and Founding Director, International Arctic Research Center of the University of Alaska, Fairbanks, Alaska, U.S.A.
4. J.R. Alexander, Professor Emeritus, Dept. of Civil Engineering, University of Pretoria, South Africa; Member, UN Scientific and Technical Committee on Natural Disasters, 1994-2000, Pretoria, South Africa.
5. Jock Allison, PhD, ONZM, formerly Ministry of Agriculture Regional Research Director, Dunedin, New Zealand
6. Bjarne Andresen, PhD, dr. scient, physicist, published and presents on the impossibility of a "global temperature", Professor, The Niels Bohr Institute, University of Copenhagen, Denmark
7. Timothy F. Ball, PhD, environmental consultant and former climatology professor, University of Winnipeg, Member, Science Advisory Board, ICSC, Victoria, British Columbia, Canada
8. Douglas W. Barr, BS (Meteorology, University of Chicago), BS and MS (Civil Engineering, University of Minnesota), Barr Engineering Co. (environmental issues and water resources), Minnesota, U.S.A.
9. Romuald Bartnik, PhD (Organic Chemistry), Professor Emeritus, Former chairman of the Department of Organic and Applied Chemistry, climate work in cooperation with Department of Hydrology and Geological Museum, University of Lodz, Lodz, Poland
10. Colin Barton, B.Sc., PhD, Earth Science, Principal research scientist (retd), Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO), Melbourne, Victoria, Australia
11. Joe Bastardi, BSc, (Meteorology, Pennsylvania State), meteorologist, State College, Pennsylvania, U.S.A.
12. Ernst-Georg Beck, Dipl. Biol. (University of Freiburg), Biologist, Freiburg, Germany
13. David Bellamy, OBE, English botanist, author, broadcaster, environmental campaigner, Hon. Professor of Botany (Geography), University of Nottingham, Hon. Prof. Faculty of Engineering and Physical Systems, Central Queensland University, Hon. Prof. of Adult and Continuing Education, University of Durham, United Nations Environment Program Global 500 Award Winner, Dutch Order of The Golden Ark, Bishop Auckland County, Durham, U.K.
14. M. I. Bhat, Professor & Head, Department of Geology & Geophysics, University of Kashmir, Srinagar, Jammu & Kashmir, India
15. Ian R. Bock, BSc, PhD, DSc, Biological sciences (retired), Ringkobing, Denmark
16. Sonja A. Boehmer-Christiansen, PhD, Reader Emeritus, Dept. of Geography, Hull University, Editor - Energy&Environment, Multi-Science (www.multi-science.co.uk), Hull, United Kingdom
17. Atholl Sutherland Brown, PhD (Geology, Princeton University), Regional Geology, Tectonics and Mineral Deposits, Victoria, British Columbia, Canada
18. Stephen C. Brown, PhD (Environmental Science, State University of New York), District Agriculture Agent, Assistant Professor, University of Alaska Fairbanks, Ground Penetrating Radar Glacier research, Palmer, Alaska, U.S.A.
19. James Buckee, D.Phil. (Oxon), focus on stellar atmospheres, Calgary, Alberta, Canada
20. Dan Carruthers, M.Sc., Arctic Animal Behavioural Ecologist, wildlife biology consultant specializing in animal ecology in Arctic and Subarctic regions, Alberta, Canada
21. Robert M. Carter, PhD, Professor, Marine Geophysical Laboratory, James Cook University, Townsville, Australia
22. Dr. Arthur V. Chadwick, PhD, Geologist, dendrochronology (analyzing tree rings to determine past climate) lecturing, Southwestern Adventist University, Keene, Texas, U.S.A.
23. George V. Chilingar, PhD, Member, Russian Academy of Sciences, Moscow President, Russian Academy of Natural Sciences, U.S.A. Section, Emeritus Professor of Civil and Environmental Engineering, University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.
24. Ian D. Clark, PhD, Professor (isotope hydrogeology and paleoclimatology), Dept. of Earth Sciences, University of Ottawa, Ottawa, Ontario, Canada
25. Charles A. Clough, BS (Mathematics, Massachusetts Institute of Technology), MS (Atmospheric Science, Texas Tech University), former (to 2006) Chief of the US Army Atmospheric Effects Team at Aberdeen Proving Ground, Maryland; now residing in Bel Air, Maryland, U.S.A.
26. Paul Copper, BSc, MSc, PhD, DIC, FRSC, Professor Emeritus, Department of Earth Sciences, Laurentian University Sudbury, Ontario, Canada
27. Piers Corbyn, MSc (Physics (Imperial College London)), ARCS, FRAS, FRMetS, astrophysicist (Queen Mary College, London), consultant, founder WeatherAction long range forecasters, London, United Kingdom
28. Allan Cortese, meteorological researcher and spotter for the National Weather Service, retired computer professional, Billerica, Massachusetts, U.S.A.
29. Richard S. Courtney, PhD, energy and environmental consultant, IPCC expert reviewer, Falmouth, Cornwall, United Kingdom
30. Susan Crockford, PhD (Zoology/Evolutionary Biology/Archaeozoology), Adjunct Professor (Anthropology/Faculty of Graduate Studies), University of Victoria, Victoria, British Colombia, Canada
31. Claude Culross, PhD (Organic Chemistry), retired, Baton Rouge, Louisiana, U.S.A.
32. Joseph D’Aleo, BS, MS (Meteorology, University of Wisconsin),  Doctoral Studies (NYU), Executive Director - ICECAP (International Climate and Environmental Change Assessment Project), Fellow of the AMS, College Professor Climatology/Meteorology, First Director of Meteorology The Weather Channel, Hudson, New Hampshire, U.S.A.
33. Chris R. de Freitas, PhD, Climate Scientist, School of Environment, The University of Auckland, New Zealand
34. Willem de Lange, MSc (Hons), DPhil (Computer and Earth Sciences), Senior Lecturer in Earth and Ocean Sciences, Waikato University, Hamilton, New Zealand
35. James DeMeo, PhD (University of Kansas 1986, Earth/Climate Science), now in Private Research, Ashland, Oregon, U.S.A.
36. David Deming, PhD (Geophysics), Associate Professor, College of Arts and Sciences, University of Oklahoma, Norman, Oklahoma, U.S.A.
37. James E Dent; B.Sc., FCIWEM, C.Met, FRMetS, C.Env., Independent Consultant, Member of WMO OPACHE Group on Flood Warning, Hadleigh, Suffolk, England
38. Robert W. Durrenberger, PhD, former Arizona State Climatologist and President of the American Association of State Climatologists, Professor Emeritus of Geography, Arizona State University; Sun City, Arizona, U.S.A.
39. Don J. Easterbrook, PhD, Emeritus Professor of Geology, Western Washington, University, Bellingham, Washington, U.S.A.
40. Per Engene, MSc, Biologist, Bø i Telemark, Norway, Co-author The Climate. Science and Politics (2009)
41. Robert H. Essenhigh, PhD, E.G. Bailey Professor of Energy Conversion, Dept. of Mechanical Engineering, The Ohio State University,  Columbus, Ohio, U.S.A.
42. David Evans, PhD (EE), MSc (Stat), MSc (EE), MA (Math), BE (EE), BSc, mathematician, carbon accountant and modeler, computer and electrical engineer and head of 'Science Speak', Scientific Advisory Panel member - Australian Climate Science Coalition, Perth, Western Australia, Australia
43. Sören Floderus, PhD (Physical Geography (Uppsala University)), coastal-environment specialization, Copenhagen, Denmark
44. Louis Fowler, BS (Mathematics), MA (Physics), 33 years in environmental measurements (Ambient Air Quality Measurements), Austin, Texas, U.S.A.
45. Stewart Franks, PhD, Professor, Hydroclimatologist, University of Newcastle, Australia
46. Gordon Fulks, PhD (Physics, University of Chicago), cosmic radiation, solar wind, electromagnetic and geophysical phenomena, Corbett, Oregon, U.S.A.
47. R. W. Gauldie, PhD, Research Professor, Hawai'i Institute of Geophysics and Planetology, School of Ocean Earth Sciences and Technology, University of Hawai'i at Manoa (Retired), U.S.A.
48. David G. Gee, Professor of Geology (Emeritus), Department of Earth Sciences, Uppsala University, Villavagen 16, Uppsala, Sweden
49. Lee C. Gerhard, PhD, Senior Scientist Emeritus, University of Kansas, past director and state geologist, Kansas Geological Survey, U.S.A.
50. Gerhard Gerlich, Dr.rer.nat. (Mathematical Physics: Magnetohydrodynamics) habil. (Real Measure Manifolds), Professor, Institut für Mathematische Physik, Technische Universität Carolo-Wilhelmina zu Braunschweig, Braunschweig, Germany, Co-author of “Falsification Of The Atmospheric CO2 Greenhouse Effects Within The Frame Of Physics”, Int.J.Mod.Phys.,2009
51. Albrecht Glatzle, PhD, ScAgr, Agro-Biologist and Gerente ejecutivo, Tropical pasture research and land use management, Director científico de INTTAS, Loma Plata, Paraguay
52. Fred Goldberg, PhD, Adj Professor, Royal Institute of Technology (Mech, Eng.), Secretary General KTH International Climate Seminar 2006 and Climate analyst and member of NIPCC, Lidingö, Sweden
53. Wayne Goodfellow, PhD (Earth Science), Ocean Evolution, Paleoenvironments, Adjunct Professor, Senior Research Scientist, University of Ottawa, Geological Survey of Canada, Ottawa, Ontario, Canada
54. Thomas B. Gray, MS, Meteorology, Retired, USAF, Yachats, Oregon, U.S.A.
55. Vincent Gray, PhD, New Zealand Climate Coalition, expert reviewer for the IPCC, author of The Greenhouse Delusion: A Critique of Climate Change 2001, Wellington, New Zealand
56. William M. Gray, PhD, Professor Emeritus, Dept. of Atmospheric Science, Colorado State University, Head of the Tropical Meteorology Project, Fort Collins, Colorado, U.S.A.
57. Kenneth P. Green, M.Sc. (Biology, University of San Diego) and a Doctorate in Environmental Science and Engineering from the University of California at Los Angeles, Resident Scholar, American Enterprise Institute, Washington, DC, U.S.A.
58. Charles B. Hammons, PhD (Applied Mathematics), systems/software engineering, modeling & simulation, design, Consultant, Coyle, Oklahoma, U.S.A.
59. William Happer, PhD, Cyrus Fogg Bracket Professor of Physics (research focus is interaction of light and matter, a key mechanism for global warming and cooling), Princeton University; Former Director, Office of Energy Research (now Office of Science), US Department of Energy (supervised climate change research), Member - National Academy of Sciences of the USA, American Academy of Arts and Sciences, American Philosophical Society; Princeton, NJ, USA.
60. Howard Hayden, PhD, Emeritus Professor (Physics), University of Connecticut, The Energy Advocate, Connecticut, U.S.A.
61. Ross Hays, Atmospheric Scientist, NASA Columbia Scientific Balloon Facility, Palestine, Texas, U.S.A.
62. James A. Heimbach, Jr., BA Physics (Franklin and Marshall College), Master's and PhD in Meteorology (Oklahoma University), Prof. Emeritus of Atmospheric Sciences (University of North Carolina at Asheville), Springvale, Maine, U.S.A.
63. Ole Humlum, PhD, Professor, Department of Physical Geography, Institute of Geosciences, University of Oslo, Oslo, Norway
64. Craig D. Idso, PhD, Chairman of the Board of Directors of the Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.
65. Sherwood B. Idso, PhD, President, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.
66. Terri Jackson, MSc MPhil., Director, Independent Climate Research Group, Northern Ireland and London (Founder of the Energy Group at the Institute of Physics, London), U.K.
67. Albert F. Jacobs, Geol.Drs., P. Geol., Calgary, Alberta, Canada
68. Zbigniew Jaworowski, PhD, DSc, professor of natural sciences, Senior Science Adviser of Central Laboratory for Radiological Protection, researcher on ice core CO2 records, Warsaw, Poland.
69. Terrell Johnson, B.S. (Zoology), M.S. (Wildlife & Range Resources, Air & Water Quality), Principal Environmental Engineer, Certified Wildlife Biologist, Green River, Wyoming, U.S.A.
70. Bill Kappel, BS (Physical Science-Geology), BS (Meteorology), Storm Analysis, Climatology, Operation Forecasting, Vice President/Senior Meteorologist, Applied Weather Associates, LLC, University of Colorado, Colorado Springs, U.S.A.
71. Wibjörn Karlén, MSc (quaternary sciences), PhD (physical geography), Professor emeritus, Stockholm University, Department of Social and Economic Geography, Geografiska Annaler Ser. A, Uppsala, Sweden
72. Olavi Kärner, Ph.D., Extraordinary Research Associate; Dept. of Atmospheric Physics, Tartu Observatory, Toravere, Estonia
73. David Kear, PhD, FRSNZ, CMG, geologist, former Director-General of NZ Dept. of Scientific & Industrial Research, Whakatane, Bay of Plenty, New Zealand
74. Madhav L. Khandekar, PhD, consultant meteorologist, (former) Research Scientist, Environment Canada, Editor "Climate Research” (03-05), Editorial Board Member "Natural Hazards, IPCC Expert Reviewer 2007, Unionville, Ontario, Canada
75. Leonid F. Khilyuk, PhD, Science Secretary, Russian Academy of Natural Sciences, Professor of Engineering, University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.
76. William Kininmonth MSc, MAdmin, former head of Australia’s National Climate Centre and a consultant to the World Meteorological organization’s Commission for Climatology, Kew, Victoria, Australia
77. Gary Kubat, BS (Atmospheric Science), MS (Atmospheric Science), professional meteorologist last 18 years, O'Fallon, Illinois, U.S.A.
78. Roar Larsen, Dr.ing.(PhD), Chief Scientist, SINTEF (Trondheim, Norway), Adjunct Professor, Norwegian University of Science and Technology, Trondheim, Norway
79. Douglas Leahey, PhD, meteorologist and air-quality consultant, President - Friends of Science, Calgary, Alberta, Canada
80. Jay Lehr, BEng (Princeton), PhD (environmental science and ground water hydrology), Science Director, The Heartland Institute, Chicago, Illinois, U.S.A.
81. Edward Liebsch, BS (Earth Science & Chemistry), MS (Meteorology, Pennsylvania State University), Senior Air Quality Scientist, HDR Inc., Maple Grove, MN, U.S.A.
82. Dr. Richard S. Lindzen, Alfred P. Sloan professor of meteorology, Dept. of Earth, Atmospheric and Planetary Sciences, Massachusetts Institute of Technology, Cambridge, Massachusetts, U.S.A.
83. Peter Link, BS, MS, PhD (Geology, Climatology), Geol/Paleoclimatology, retired, Active in Geol-paleoclimatology, Tulsa University and Industry, Evergreen, Colorado, U.S.A.
84. Anthony R. Lupo, Ph.D., Professor of Atmospheric Science, Department of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, University of Missouri, Columbia, Missouri, U.S.A.
85. Horst Malberg, PhD, former director of Institute of Meteorology, Free University of Berlin, Germany
86. Björn Malmgren, PhD, Professor Emeritus in Marine Geology, Paleoclimate Science, Goteborg University, retired, Norrtälje, Sweden
87. Fred Michel, PhD, Director, Institute of Environmental Sciences, Associate Professor of Earth Sciences, Carleton University, Ottawa, Ontario, Canada
88. Ferenc Mark Miskolczi, PhD, atmospheric physicist, formerly of NASA's Langley Research Center, Hampton, Virginia, U.S.A.
89. Asmunn Moene, PhD, MSc (Meteorology), former head of the Forecasting Centre, Meteorological Institute, Oslo, Norway
90. Cdr. M. R. Morgan, PhD, FRMetS, climate consultant, former Director in marine meteorology policy and planning in DND Canada, NATO and World Meteorological Organization and later a research scientist in global climatology at Exeter University, UK, now residing in Dartmouth, Nova Scotia, Canada
91. Nils-Axel Mörner, PhD (Sea Level Changes and Climate), Emeritus Professor of Paleogeophysics & Geodynamics, Stockholm University, Stockholm, Sweden
92. Robert Neff, M.S. (Meteorology, St Louis University), Weather Officer, USAF; Contractor support to NASA Meteorology Satellites, Retired, Camp Springs, Maryland, U.S.A.
93. John Nicol, PhD, Physics, (Retired) James Cook University, Chairman - Australian Climate Science Coalition, Brisbane, Australia
94. Ingemar Nordin, PhD, professor in philosophy of science (including a focus on "Climate research, philosophical and sociological aspects of a politicised research area"), Linköpings University, Sweden.
95. David Nowell, M.Sc., Fellow of the Royal Meteorological Society, former chairman of the NATO Meteorological Group, Ottawa, Ontario, Canada
96. James J. O'Brien, PhD, Emeritus Professor, Meteorology and Oceanography, Florida State University, Florida, U.S.A.
97. Peter Oliver, BSc (Geology), BSc (Hons, Geochemistry & Geophysics), MSc (Geochemistry), PhD (Geology), specialized in NZ quaternary glaciations, Geochemistry and Paleomagnetism, previously research scientist for the NZ Department of Scientific and Industrial Research, Upper Hutt, New Zealand
98. Cliff Ollier, D.Sc., Professor Emeritus (School of Earth and Environment), Research Fellow, University of Western Australia, Nedlands, W.A., Australia
99. Garth W. Paltridge, BSc Hons (Qld), MSc, PhD (Melb), DSc (Qld), Emeritus Professor, Honorary Research Fellow and former Director of the Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies, University of Tasmania, Hobart, Visiting Fellow, RSBS, ANU, Canberra, ACT, Australia
100. R. Timothy Patterson, PhD, Professor, Dept. of Earth Sciences (paleoclimatology), Carleton University, Chair - International Climate Science Coalition, Ottawa, Ontario, Canada
101. Alfred H. Pekarek, PhD, Associate Professor of Geology, Earth and Atmospheric Sciences Department, St. Cloud State University, St. Cloud, Minnesota, U.S.A.
102. Ian Plimer, PhD, Professor of Mining Geology, The University of Adelaide; Emeritus Professor of Earth Sciences, The University of Melbourne, Australia
103. Daniel Joseph Pounder, BS (Meteorology, University of Oklahoma), MS (Atmospheric Sciences, University of Illinois, Urbana-Champaign); Weather Forecasting, Meteorologist, WILL AM/FM/TV, the public broadcasting station of the University of Illinois, Urbana, U.S.A.
104. Brian Pratt, PhD, Professor of Geology (Sedimentology), University of Saskatchewan, Saskatoon, Saskatchewan, Canada
105. Harry N.A. Priem, PhD, Professor (retired) Utrecht University, isotope and planetary geology, Past-President Royal Netherlands Society of Geology and Mining, former President of the Royal Geological and Mining Society of the Netherlands, Amsterdam, The Netherlands
106. Tom Quirk, MSc (Melbourne), D Phil, MA (Oxford), SMP (Harvard), Member of the Scientific Advisory Panel of the Australian Climate Science Coalition, Member Board Institute of Public Affairs, Melbourne, Victoria, Australia
107. George A. Reilly, PhD (Geology), Winnipeg, Manitoba, Canada
108. Robert G. Roper, PhD, DSc (University of Adelaide, South Australia), Emeritus Professor of Atmospheric Sciences, Georgia Institute of Technology, Atlanta, Georgia, U.S.A.
109. Arthur Rorsch, PhD, Emeritus Professor, Molecular Genetics, Leiden University, retired member board Netherlands Organization Applied Research TNO, Leiden, The Netherlands
110. Curt Rose, BA, MA (University of Western Ontario), MA, PhD (Clark University), Professor Emeritus, Department of Environmental Studies and Geography, Bishop's University, Sherbrooke, Quebec, Canada
111. Rob Scagel, MSc (forest microclimate specialist), Principal Consultant - Pacific Phytometric Consultants, Surrey, British Columbia, Canada
112. Clive Schaupmeyer, B.Sc., M.Sc., Professional Agrologist (awarded an Alberta "Distinguished Agrologist"), 40 years of weather and climate studies with respect to crops, Coaldale, Alberta, Canada
113. Bruce Schwoegler, BS (Meteorology and Naval Science, University of Wisconsin-Madison), Chief Technology Officer, MySky Communications Inc, meteorologist, science writer and principal/co-founder of MySky, Lakeville, Massachusetts, U.S.A.
114. John Shade, BS (Physics), MS (Atmospheric Physics), MS (Applied Statistics), Industrial Statistics Consultant, GDP, Dunfermline, Scotland, United Kingdom
115. Gary Sharp, PhD, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, California, U.S.A.
116. Thomas P. Sheahen, PhD (Physics, Massachusetts Institute of Technology), specialist in renewable energy, research and publication (Applied Optics) in modeling and measurement of absorption of infrared radiation by atmospheric CO2, Oakland, Maryland, U.S.A.
117. Paavo Siitam, M.Sc., agronomist and chemist, Cobourg, Ontario, Canada
118. L. Graham Smith, PhD, Associate Professor of Geography, specialising in Resource Management, University of Western Ontario, London, Ontario, Canada.
119. Roy W. Spencer, PhD, climatologist, Principal Research Scientist, Earth System Science Center, The University of Alabama, Huntsville, Alabama, U.S.A.
120. Walter Starck, PhD (Biological Oceanography), marine biologist (specialization in coral reefs and fisheries), author, photographer, Townsville, Australia
121. Peter Stilbs, TeknD, Professor of Physical Chemistry, Research Leader, School of Chemical Science and Engineering, Royal Institute of Technology (KTH), member of American Chemical Society and life member of American Physical Society, Chair of "Global Warming - Scientific Controversies in Climate Variability", International seminar meeting at KTH, 2006, Stockholm, Sweden
122. Arlin Super, PhD (Meteorology), former Professor of Meteorology at Montana State University, retired Research Meteorologist, U.S. Bureau of Reclamation, Saint Cloud, Minnesota, U.S.A.
123. George H. Taylor, B.A. (Mathematics, U.C. Santa Barbara), M.S. (Meteorology, University of Utah), Certified Consulting Meteorologist, Applied Climate Services, LLC, Former State Climatologist (Oregon), President, American Association of State Climatologists (1998-2000), Corvallis, Oregon, U.S.A.
124. Mitchell Taylor, PhD, Biologist (Polar Bear Specialist), Wildlife Research Section, Department of Environment, Igloolik, Nunavut, Canada
125. Hendrik Tennekes, PhD, former director of research, Royal Netherlands Meteorological Institute, Arnhem, The Netherlands
126. Frank Tipler, PhD, Professor of Mathematical Physics, astrophysics, Tulane University, New Orleans, Louisiana, U.S.A.
127. Edward M. Tomlinson, MS (Meteorology), Ph.D. (Meteorology, University of Utah), President, Applied Weather Associates, LLC (leader in extreme rainfall storm analyses), 21 years US Air Force in meteorology (Air Weather Service), Monument, Colorado, U.S.A.
128. Ralf D. Tscheuschner, Dr.rer.nat. (Theoretical physics: Quantum Theory), Freelance Lecturer and Researcher in Physics and Applied Informatics, Hamburg, Germany. Co-author of “Falsification of The Atmospheric CO2 Greenhouse Effects Within The Frame Of Physics, Int.J.Mod.Phys. 2009
129. Gerrit J. van der Lingen, PhD (Utrecht University), geologist and paleoclimatologist, climate change consultant, Geoscience Research and Investigations, Christchurch, New Zealand
130. A.J. (Tom) van Loon, PhD, Professor of Geology (Quaternary Geology), Adam Mickiewicz University, Poznan, Poland; former President of the European Association of Science Editors
131. Gösta Walin, PhD in Theoretical physics, Professor emeritus in oceanography, Earth Science Center, Göteborg University, Göteborg, Sweden
132. Neil Waterhouse, PhD (Physics, Thermal, Precise Temperature Measurement), retired, National Research Council, Bell Northern Research, Ottawa, Ontario, Canada
133. Anthony Watts, 25-year broadcast meteorology veteran and currently chief meteorologist for KPAY-AM radio. In 1987, he founded ItWorks, which supplies custom weather stations, Internet servers, weather graphics content, and broadcast video equipment. In 2007, Watts founded SurfaceStations.org, a Web site devoted to photographing and documenting the quality of weather stations across the U.S., U.S.A.
134. Charles L. Wax, PhD (physical geography: climatology, LSU), State Climatologist – Mississippi, past President of the American Association of State Climatologists, Professor, Department of Geosciences, Mississippi State University, U.S.A.
135. James Weeg, BS (Geology), MS (Environmental Science), Professional Geologist/hydrologist, Advent Environmental Inc, Mt. Pleasant, South Carolina, U.S.A.
136. Forese-Carlo Wezel, PhD, Emeritus Professor of Stratigraphy (global and Mediterranean geology, mass biotic extinctions and paleoclimatology), University of Urbino, Urbino, Italy
137. Boris Winterhalter, PhD, senior marine researcher (retired), Geological Survey of Finland, former adjunct professor in marine geology, University of Helsinki, Helsinki, Finland
138. David E. Wojick, PhD, PE, energy and environmental consultant, Technical Advisory Board member - Climate Science Coalition of America, Star Tannery, Virginia, U.S.A.
139. Raphael Wust, PhD, Adj Sen. Lecturer, Marine Geology/Sedimentology, James Cook University, Townsville, Australia
140. Stan Zlochen, BS (Atmospheric Science), MS (Atmospheric Science), USAF (retired), Omaha, Nebraska, U.S.A.
141. Dr. Bob Zybach, PhD (Oregon State University (OSU), Environmental Sciences Program), MAIS (OSU, Forest Ecology, Cultural Anthropology, Historical Archaeology), BS (OSU College of Forestry), President, NW Maps Co., Program Manager, Oregon Websites and Watersheds Project, Inc., Cottage Grove, Oregon, U.S.A.

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  • De formation scientifique (EPFL), économique et financière (Paris IX Dauphine), j'ai travaillé dans l'industrie, le conseil aux entreprises et les ressources humaines, et m'intéresse aux arts et lettres.
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