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14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 13:30

richardlindzenL'Institut Constant de Rebecque (ici) a publié le 16 novembre dernier un article de Richard Lindzen (ici) dans lequel ce dernier demande de "résister à l'hystérie sur le climat" et oppose de solides arguments à "une politique climatique irréfléchie".

Richard Lindzen est un grand climatologue [voir ici son CV
 et ici son site au MIT , d'où est tirée la photo qui illustre cet article]. Membre éminent du GIEC (ici), à ses débuts, il en a démissionné avec fracas "en 2001, considérant que les comptes rendus de cet organisme ne reflétaient plus la réalité des connaissances scientifiques, au moins pour sa partie (la validité des modèles océan-atmosphère)"[voir l'article publié par Climat sceptique en 2006 ici].

Après avoir rappelé que le climat change depuis que la Terre existe, Richard Lindzen explique dans cet article pourquoi il s'oppose à la thèse selon laquelle le réchauffement actuel, qu'il qualifie d'infime, quelques dixièmes de degrés en un siècle, serait dû à l'activité humaine :

 "Ce qui s’oppose à l’assertion que l’homme est la cause de ces changements usuels de température, c’est surtout le fait que le réchauffement causé par l’effet de serre possède sa propre signature : le réchauffement de la surface devrait être accompagné d’un réchauffement sous les tropiques à une altitude approximative de neuf kilomètres qui soit 2,5 fois plus élevé qu’en surface. Or, les mesures montrent que le réchauffement n’y est que d’environ trois quarts de ce qui est observé en surface, ce qui implique que tout au plus un tiers environ du réchauffement en surface pourrait être lié à l’effet de serre ; il est probable que même ce réchauffement infime ne soit pas dû dans sa totalité à l’activité humaine"

Il met en cause les modèles climatiques qui selon lui surestiment très largement ce réchauffement, parce qu'ils partent de suppositions infondées, et, là encore, il explique pourquoi :

"Seule, l'augmentation de CO2, ne contribue [...] que modestement au réchauffement (environ un degré Celsius pour chaque doublement de CO2). Les prédictions d'un réchauffement plus élevé des modèles climatiques sont dues au fait qu'elles supposent que les substances à effet de serre les plus importantes, comme la vapeur d'eau et les nuages, amplifient les variations de CO2. On appelle cela la rétroaction positive, ce qui signifie que les augmentations  de la température de la surface sont accompagnées de réductions de la radiation nette - augmentant ainsi le réchauffement par effet de serre. Tous les modèles indiquent de tels changements en fonction des températures observées en surface".

Le problème est que, par exemple, les données sur la radiation de la Terre récoltées par le satellite ERBE :

"montrent une forte rétroaction négative - réduisant sensiblement l'effet direct du CO2 (Lindzen and Choi, 2009), en parfaite contradiction avec les modèles. Cette analyse montre que même lorsque tous les modèles concordent, ils peuvent être faux et que cela peut être le cas pour une question aussi essentielle que la sensibilité du climat au CO2".

Richard Lindzen relève que les prédictions alarmistes du GIEC se basent sur l'hypothèse que "la sensibilité du climat au doublement du CO2 est supérieure à deux degrés Celsius" :


"Si c'était exact, nous aurions dû logiquement observer un réchauffement plus important que cela n'a été le cas jusqu'ici, et ceci même en supposant que le réchauffement observé ait été causé entièrement par l'homme".


Enfin les modélisateurs et les scientifiques - ceux qui sont restés au GIEC - sont incapables d'expliquer, sinon de manière contradictoire, pourquoi "il n'y a pas eu de réchauffement global net significatif ces 14 dernières années" :

"Les alarmistes répondent que certaines des années les plus chaudes jamais observées ont eu lieu durant la dernière décennie. Etant donné que nous nous trouvons effectivement dans une période relativement chaude, cela ne saurait surprendre. Cela ne permet pas, néanmoins, de tirer des conclusions sur les tendances futures".

D'autre part :

"Localement, d'année en année, les fluctuations de température observées sont en fait quatre fois plus élevées que les fluctuations de la moyenne globale. La plus grande partie de ces variations doivent donc forcément être indépendantes de la moyenne globale, à défaut de quoi cette moyenne varierait beaucoup plus".

Richard Lindzen va encore plus loin. Même en admettant que le réchauffement planétaire de cause anthropique soit significatif, l'alarmisme qui en résulte ne serait pas justifié :

"La population d'ours polaires, la glaciation estivale de l'Arctique, les sécheresses et les inondations, l'érosion de la barrière de corail, les ouragans, les glaciers alpins, la malaria, etc. dépendent tous non pas de la température moyenne de la surface du globe, mais d'un grand nombre de variables locales qui incluent la température, l'humidité, les nuages, les précipitations et la direction et la magnitude des vents. L'état des océans joue souvent un rôle tout aussi crucial".

Il en conclut à propos de ces prévisions catastrophiques :

"Chaque prévision de catastrophe exigerait que tous ces facteurs se meuvent dans une fourchette déterminée. La probabilité qu'une catastrophe spécifique arrive est donc proche de zéro".

Pourquoi y a-t-il donc une telle montée de l'alarmisme ? Parce que des groupes y ont intérêt :

"L'intérêt du mouvement environnementaliste à acquérir davantage de pouvoir, d'influence et de donations semble évident. Tout comme l'intérêt des bureaucrates, pour qui le contrôle du CO2 est en quelque sorte un rêve devenu réalité : après tout, le CO2 émane même de la respiration. Les politiciens, eux, perçoivent la possibilité d'augmentations d'impôts largement acceptées parce que celles-ci seraient nécessaires pour "sauver" la Terre. Différents Etats s'efforcent également d'exploiter ce thème dans l'espoir d'en tirer des avantages compétitifs".

Il ajoute, à propos du négoce des certificats d'émissions de CO2 :  

"Le potentiel de corruption est immense".

Il n'est pas surprenant d'y voir mêlés les noms d'Enron, de Lehman Brothers, pour le passé, et aujourd'hui ceux de Goldman Sachs et d'Al Gore.

Comme il est fort possible que le réchauffement se soit arrêté, en tout cas si l'on considère les 14 dernières années écoulées :

"Pour ceux dont les intérêts sont les plus matériels, la nécessité d'agir sans tarder, avant que le public ne se rende compte de la réalité, est bien réelle".

Sinon le gigantesque fromage du réchauffement pourrait bien fondre comme ... banquise de l'Arctique en été.

Francis Richard 

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 22:30
Portrait V CourtillotLe Monde, daté du 11 décembre 2009, sous la plume de Stéphane Foucart et Hervé Morin (ici), nous apprend que le dernier numéro de décembre du Journal du CNRS (ici) devait être consacré au "réchauffement".

Ce dossier devait comporter en première partie des exposés de climatologues. En seconde partie parole devait être donnée à deux géophysiciens, de l' Institut de physique du globe de Paris (ici), Vincent Courtillot, qui en est le directeur [photo en provenance de l'Académie des Sciences ici], et Jean-Louis Le Mouël.

Les premiers devaient - c'est maintenant du réchauffé -ressasser la thèse, devenue religion officielle, du réchauffement climatique global d'origine humaine, tandis que les seconds auraient pu développer, pour une fois, leur thèse d' "une cause solaire au réchauffement", dont les grands médias se gardent bien de vous parler...parce qu'elle est la plus plausible.

Les climatologues se sont mis en colère contre cette promiscuité. Résultat : ils ont obtenu gain de cause. Leurs articles, qui trouvent un large écho dans les médias, jusqu'à devenir l'unique thèse, laïque et obligatoire, ne seront pas publiés. Ce n'est donc pas une perte pour eux. Mais les articles des seconds ne seront pas publiés, alors que leur thèse est toujours maintenue sous le boisseau.

Le Monde, champion de la désinformation, considère que les "climatologues" et les "climato-sceptiques" ont été renvoyés dos à dos...

A la réflexion n'est-ce pas plutôt un hommage que de mettre sur le même pied les deux thèses opposées? Sauf que la première a droit d'être citée partout ailleurs et l'autre pas.

Francis Richard

Le CNRS a censuré Vincent Courtillot. Sur ce blog les internautes peuvent le voir présenter son dernier livre :


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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 16:30

featureMoncktonLors de la 2ème Conférence internationale sur le climat, organisée à Berlin, le 4 décembre dernier par l'European Institute for Climate and Energy (EIKE), le Committee for a Constructive Tomorrow (CFACT), le Haus der Zukunft (HDZ), le Liberale Institute of the Stiftung für die Freiheit,  le  Bund Freiheit der Wissenschaft , et l' Institut fur Unternehmerische Freiheit, Lord Monckton [photo ci-contre en provenance du site du CFACT] a prononcé une conférence sur le "Climate Gate", dont Ben Palmer a eu la bonne idée de me transmettre le lien (voir son commentaire à mon article Les "climato-sceptiques" ne doivent pas désespérer Copenhague ) et dont voici la video :  

 

Lord Monckton on Climategate at the 2nd International Climate Conference from CFACT EUROPE on Vimeo.


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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 13:10
ban ki-moon-lChangement climatique, aka Skyfal, a publié hier une lettre ouverte (iciadressée par 141 scientifiques du monde entier à Ban Ki Moon [photo ci-contre en provenance du site des Nations Unies ici] que je me permets de reproduire, parce qu'elle est une réponse argumentée à bien des affirmations sans preuves qui fleurissent à la Conférence de Copenhague.

La version originale de cette lettre ouverte se trouve
(ici).

Bien sûr il y a fort à parier que cette lettre ouverte restera lettre morte, mais il faut saluer ces scientifiques qui osent braver la propagande totalitaire de l'écologie politique.

Pour mémoire, l'an passé, plus de 31 000 scientifiques américains avaient signé l' "Oregon petition"  (
ici).

Francis Richard

Lettre ouverte au Secrétaire général des Nations Unies

Son Excellence M. Ban Ki Moon
Secrétaire général des Nations Unies
New York, NY
États-Unis d'Amérique
8 Décembre 2009

Monsieur le Secrétaire général,


La science du changement climatique est dans une période de "découverte négative" - plus nous en apprenons au sujet de cette discipline exceptionnellement complexe et en rapide évolution, plus nous réalisons à quel point nous connaissons peu. En vérité, la science n'est PAS résolue.


Par conséquent, il n'y a aucune raison valable d'imposer des décisions de politique publique coûteuse et restrictive sur les peuples de la Terre sans d'abord fournir des preuves convaincantes que les activités humaines causent de dangereux changements climatiques au-delà de ceux résultant de causes naturelles. Avant que toute action précipitée ne soit prise, nous devons disposer de solides données d'observations démontrant que les changements climatiques récents diffèrent substantiellement de changements observés dans le passé et sont bien au-delà des variations normales causées par les cycles solaires, les courants océaniques, les changements de paramètres orbitaux de la Terre et autres phénomènes naturels.


Nous, les soussignés, qualifiés dans des disciplines scientifiques liées au climat, exigeons de la CCNUCC et des sympathisants de la Conférence sur le Climat de l'ONU de produire des preuves ISSUES DE L'OBSERVATION convaincantes pour leurs affirmations qu'il y un réchauffement global et autres changements climatiques causés par l'homme. Les projections de scénarios futurs possibles à partir de modèles informatiques du climat non prouvés ne sont pas acceptables pour remplacer les données réelles obtenues par la recherche scientifique impartiale et rigoureuse.


Plus précisément, nous mettons au défi les partisans de la thèse d'un réchauffement climatique dangereux causé par l'homme de démontrer que :

  1. Les variations dans le climat mondial au cours des cent dernières années sont nettement en dehors des variations naturelles constatées lors des siècles précédents ;
  2. Les émissions de dioxyde de carbone et d'autres "gaz à effet de serre" (GES) ont un impact dangereux sur le climat mondial ;
  3. Les modèles informatiques peuvent répliquer de façon significative l'incidence de tous les facteurs naturels qui pourraient influencer le climat de façon significative ;
  4. La mer monte dangereusement à un rythme qui s'est accéléré avec l'augmentation des émissions de GES de l'homme, mettant ainsi en péril les petites îles et les communautés côtières ;
  5. L'incidence du paludisme est en augmentation en raison des changements climatiques récents ;
  6. La société humaine et les écosystèmes naturels ne peuvent pas s'adapter aux changements climatiques prévisibles comme ils l'ont fait dans le passé ;
  7. le recul des glaciers de la planète et la fonte de la banquise dans les régions polaires sont inhabituels et liés à l'augmentation des émissions anthropiques de GES ;
  8. Les ours polaires et autres animaux sauvages de l'Arctique et l'Antarctique sont incapables de s'adapter aux effets attendus des changements locaux du climat, indépendamment des causes de ces changements ;
  9. Les ouragans, divers cyclones tropicaux et les événements météorologiques extrêmes qui leur sont liés ont augmenté en gravité et en fréquence ;
  10. Les données enregistrées par les stations terrestres sont un indicateur fiable des tendances de la température de surface.

Ce n'est pas de la responsabilité des scientifiques "réalistes du climat"  de prouver que des changements climatiques dangereux d'origine humaine ne se sont pas produits. Plutôt, c'est ceux qui proposent que cela est dangereux et promeuvent des investissements massifs pour résoudre le prétendu "problème", qui sont dans l'obligation de démontrer de façon convaincante que les changements climatiques récents ne sont pas principalement d'origine naturelle et que si nous ne faisons rien, des changements catastrophiques s'en suivraient. À ce jour, ils y ont totalement échoué.

• • • • •

Les signataires :


1. Habibullo I. Abdussamatov, Dr. Sci., mathematician and astrophysicist, Head of the Russian-Ukrainian Astrometria project on the board of the Russian segment of the ISS, Head of Space Research Laboratory at the Pulkovo Observatory of the Russian Academy of Sciences, St. Petersburg, Russia
2. Göran Ahlgren, docent organisk kemi, general secretary of the Stockholm Initiative, Professor of Organic Chemistry, Stockholm, Sweden
3. Syun-Ichi Akasofu, PhD, Professor of Physics, Emeritus and Founding Director, International Arctic Research Center of the University of Alaska, Fairbanks, Alaska, U.S.A.
4. J.R. Alexander, Professor Emeritus, Dept. of Civil Engineering, University of Pretoria, South Africa; Member, UN Scientific and Technical Committee on Natural Disasters, 1994-2000, Pretoria, South Africa.
5. Jock Allison, PhD, ONZM, formerly Ministry of Agriculture Regional Research Director, Dunedin, New Zealand
6. Bjarne Andresen, PhD, dr. scient, physicist, published and presents on the impossibility of a "global temperature", Professor, The Niels Bohr Institute, University of Copenhagen, Denmark
7. Timothy F. Ball, PhD, environmental consultant and former climatology professor, University of Winnipeg, Member, Science Advisory Board, ICSC, Victoria, British Columbia, Canada
8. Douglas W. Barr, BS (Meteorology, University of Chicago), BS and MS (Civil Engineering, University of Minnesota), Barr Engineering Co. (environmental issues and water resources), Minnesota, U.S.A.
9. Romuald Bartnik, PhD (Organic Chemistry), Professor Emeritus, Former chairman of the Department of Organic and Applied Chemistry, climate work in cooperation with Department of Hydrology and Geological Museum, University of Lodz, Lodz, Poland
10. Colin Barton, B.Sc., PhD, Earth Science, Principal research scientist (retd), Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO), Melbourne, Victoria, Australia
11. Joe Bastardi, BSc, (Meteorology, Pennsylvania State), meteorologist, State College, Pennsylvania, U.S.A.
12. Ernst-Georg Beck, Dipl. Biol. (University of Freiburg), Biologist, Freiburg, Germany
13. David Bellamy, OBE, English botanist, author, broadcaster, environmental campaigner, Hon. Professor of Botany (Geography), University of Nottingham, Hon. Prof. Faculty of Engineering and Physical Systems, Central Queensland University, Hon. Prof. of Adult and Continuing Education, University of Durham, United Nations Environment Program Global 500 Award Winner, Dutch Order of The Golden Ark, Bishop Auckland County, Durham, U.K.
14. M. I. Bhat, Professor & Head, Department of Geology & Geophysics, University of Kashmir, Srinagar, Jammu & Kashmir, India
15. Ian R. Bock, BSc, PhD, DSc, Biological sciences (retired), Ringkobing, Denmark
16. Sonja A. Boehmer-Christiansen, PhD, Reader Emeritus, Dept. of Geography, Hull University, Editor - Energy&Environment, Multi-Science (www.multi-science.co.uk), Hull, United Kingdom
17. Atholl Sutherland Brown, PhD (Geology, Princeton University), Regional Geology, Tectonics and Mineral Deposits, Victoria, British Columbia, Canada
18. Stephen C. Brown, PhD (Environmental Science, State University of New York), District Agriculture Agent, Assistant Professor, University of Alaska Fairbanks, Ground Penetrating Radar Glacier research, Palmer, Alaska, U.S.A.
19. James Buckee, D.Phil. (Oxon), focus on stellar atmospheres, Calgary, Alberta, Canada
20. Dan Carruthers, M.Sc., Arctic Animal Behavioural Ecologist, wildlife biology consultant specializing in animal ecology in Arctic and Subarctic regions, Alberta, Canada
21. Robert M. Carter, PhD, Professor, Marine Geophysical Laboratory, James Cook University, Townsville, Australia
22. Dr. Arthur V. Chadwick, PhD, Geologist, dendrochronology (analyzing tree rings to determine past climate) lecturing, Southwestern Adventist University, Keene, Texas, U.S.A.
23. George V. Chilingar, PhD, Member, Russian Academy of Sciences, Moscow President, Russian Academy of Natural Sciences, U.S.A. Section, Emeritus Professor of Civil and Environmental Engineering, University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.
24. Ian D. Clark, PhD, Professor (isotope hydrogeology and paleoclimatology), Dept. of Earth Sciences, University of Ottawa, Ottawa, Ontario, Canada
25. Charles A. Clough, BS (Mathematics, Massachusetts Institute of Technology), MS (Atmospheric Science, Texas Tech University), former (to 2006) Chief of the US Army Atmospheric Effects Team at Aberdeen Proving Ground, Maryland; now residing in Bel Air, Maryland, U.S.A.
26. Paul Copper, BSc, MSc, PhD, DIC, FRSC, Professor Emeritus, Department of Earth Sciences, Laurentian University Sudbury, Ontario, Canada
27. Piers Corbyn, MSc (Physics (Imperial College London)), ARCS, FRAS, FRMetS, astrophysicist (Queen Mary College, London), consultant, founder WeatherAction long range forecasters, London, United Kingdom
28. Allan Cortese, meteorological researcher and spotter for the National Weather Service, retired computer professional, Billerica, Massachusetts, U.S.A.
29. Richard S. Courtney, PhD, energy and environmental consultant, IPCC expert reviewer, Falmouth, Cornwall, United Kingdom
30. Susan Crockford, PhD (Zoology/Evolutionary Biology/Archaeozoology), Adjunct Professor (Anthropology/Faculty of Graduate Studies), University of Victoria, Victoria, British Colombia, Canada
31. Claude Culross, PhD (Organic Chemistry), retired, Baton Rouge, Louisiana, U.S.A.
32. Joseph D’Aleo, BS, MS (Meteorology, University of Wisconsin),  Doctoral Studies (NYU), Executive Director - ICECAP (International Climate and Environmental Change Assessment Project), Fellow of the AMS, College Professor Climatology/Meteorology, First Director of Meteorology The Weather Channel, Hudson, New Hampshire, U.S.A.
33. Chris R. de Freitas, PhD, Climate Scientist, School of Environment, The University of Auckland, New Zealand
34. Willem de Lange, MSc (Hons), DPhil (Computer and Earth Sciences), Senior Lecturer in Earth and Ocean Sciences, Waikato University, Hamilton, New Zealand
35. James DeMeo, PhD (University of Kansas 1986, Earth/Climate Science), now in Private Research, Ashland, Oregon, U.S.A.
36. David Deming, PhD (Geophysics), Associate Professor, College of Arts and Sciences, University of Oklahoma, Norman, Oklahoma, U.S.A.
37. James E Dent; B.Sc., FCIWEM, C.Met, FRMetS, C.Env., Independent Consultant, Member of WMO OPACHE Group on Flood Warning, Hadleigh, Suffolk, England
38. Robert W. Durrenberger, PhD, former Arizona State Climatologist and President of the American Association of State Climatologists, Professor Emeritus of Geography, Arizona State University; Sun City, Arizona, U.S.A.
39. Don J. Easterbrook, PhD, Emeritus Professor of Geology, Western Washington, University, Bellingham, Washington, U.S.A.
40. Per Engene, MSc, Biologist, Bø i Telemark, Norway, Co-author The Climate. Science and Politics (2009)
41. Robert H. Essenhigh, PhD, E.G. Bailey Professor of Energy Conversion, Dept. of Mechanical Engineering, The Ohio State University,  Columbus, Ohio, U.S.A.
42. David Evans, PhD (EE), MSc (Stat), MSc (EE), MA (Math), BE (EE), BSc, mathematician, carbon accountant and modeler, computer and electrical engineer and head of 'Science Speak', Scientific Advisory Panel member - Australian Climate Science Coalition, Perth, Western Australia, Australia
43. Sören Floderus, PhD (Physical Geography (Uppsala University)), coastal-environment specialization, Copenhagen, Denmark
44. Louis Fowler, BS (Mathematics), MA (Physics), 33 years in environmental measurements (Ambient Air Quality Measurements), Austin, Texas, U.S.A.
45. Stewart Franks, PhD, Professor, Hydroclimatologist, University of Newcastle, Australia
46. Gordon Fulks, PhD (Physics, University of Chicago), cosmic radiation, solar wind, electromagnetic and geophysical phenomena, Corbett, Oregon, U.S.A.
47. R. W. Gauldie, PhD, Research Professor, Hawai'i Institute of Geophysics and Planetology, School of Ocean Earth Sciences and Technology, University of Hawai'i at Manoa (Retired), U.S.A.
48. David G. Gee, Professor of Geology (Emeritus), Department of Earth Sciences, Uppsala University, Villavagen 16, Uppsala, Sweden
49. Lee C. Gerhard, PhD, Senior Scientist Emeritus, University of Kansas, past director and state geologist, Kansas Geological Survey, U.S.A.
50. Gerhard Gerlich, Dr.rer.nat. (Mathematical Physics: Magnetohydrodynamics) habil. (Real Measure Manifolds), Professor, Institut für Mathematische Physik, Technische Universität Carolo-Wilhelmina zu Braunschweig, Braunschweig, Germany, Co-author of “Falsification Of The Atmospheric CO2 Greenhouse Effects Within The Frame Of Physics”, Int.J.Mod.Phys.,2009
51. Albrecht Glatzle, PhD, ScAgr, Agro-Biologist and Gerente ejecutivo, Tropical pasture research and land use management, Director científico de INTTAS, Loma Plata, Paraguay
52. Fred Goldberg, PhD, Adj Professor, Royal Institute of Technology (Mech, Eng.), Secretary General KTH International Climate Seminar 2006 and Climate analyst and member of NIPCC, Lidingö, Sweden
53. Wayne Goodfellow, PhD (Earth Science), Ocean Evolution, Paleoenvironments, Adjunct Professor, Senior Research Scientist, University of Ottawa, Geological Survey of Canada, Ottawa, Ontario, Canada
54. Thomas B. Gray, MS, Meteorology, Retired, USAF, Yachats, Oregon, U.S.A.
55. Vincent Gray, PhD, New Zealand Climate Coalition, expert reviewer for the IPCC, author of The Greenhouse Delusion: A Critique of Climate Change 2001, Wellington, New Zealand
56. William M. Gray, PhD, Professor Emeritus, Dept. of Atmospheric Science, Colorado State University, Head of the Tropical Meteorology Project, Fort Collins, Colorado, U.S.A.
57. Kenneth P. Green, M.Sc. (Biology, University of San Diego) and a Doctorate in Environmental Science and Engineering from the University of California at Los Angeles, Resident Scholar, American Enterprise Institute, Washington, DC, U.S.A.
58. Charles B. Hammons, PhD (Applied Mathematics), systems/software engineering, modeling & simulation, design, Consultant, Coyle, Oklahoma, U.S.A.
59. William Happer, PhD, Cyrus Fogg Bracket Professor of Physics (research focus is interaction of light and matter, a key mechanism for global warming and cooling), Princeton University; Former Director, Office of Energy Research (now Office of Science), US Department of Energy (supervised climate change research), Member - National Academy of Sciences of the USA, American Academy of Arts and Sciences, American Philosophical Society; Princeton, NJ, USA.
60. Howard Hayden, PhD, Emeritus Professor (Physics), University of Connecticut, The Energy Advocate, Connecticut, U.S.A.
61. Ross Hays, Atmospheric Scientist, NASA Columbia Scientific Balloon Facility, Palestine, Texas, U.S.A.
62. James A. Heimbach, Jr., BA Physics (Franklin and Marshall College), Master's and PhD in Meteorology (Oklahoma University), Prof. Emeritus of Atmospheric Sciences (University of North Carolina at Asheville), Springvale, Maine, U.S.A.
63. Ole Humlum, PhD, Professor, Department of Physical Geography, Institute of Geosciences, University of Oslo, Oslo, Norway
64. Craig D. Idso, PhD, Chairman of the Board of Directors of the Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.
65. Sherwood B. Idso, PhD, President, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.
66. Terri Jackson, MSc MPhil., Director, Independent Climate Research Group, Northern Ireland and London (Founder of the Energy Group at the Institute of Physics, London), U.K.
67. Albert F. Jacobs, Geol.Drs., P. Geol., Calgary, Alberta, Canada
68. Zbigniew Jaworowski, PhD, DSc, professor of natural sciences, Senior Science Adviser of Central Laboratory for Radiological Protection, researcher on ice core CO2 records, Warsaw, Poland.
69. Terrell Johnson, B.S. (Zoology), M.S. (Wildlife & Range Resources, Air & Water Quality), Principal Environmental Engineer, Certified Wildlife Biologist, Green River, Wyoming, U.S.A.
70. Bill Kappel, BS (Physical Science-Geology), BS (Meteorology), Storm Analysis, Climatology, Operation Forecasting, Vice President/Senior Meteorologist, Applied Weather Associates, LLC, University of Colorado, Colorado Springs, U.S.A.
71. Wibjörn Karlén, MSc (quaternary sciences), PhD (physical geography), Professor emeritus, Stockholm University, Department of Social and Economic Geography, Geografiska Annaler Ser. A, Uppsala, Sweden
72. Olavi Kärner, Ph.D., Extraordinary Research Associate; Dept. of Atmospheric Physics, Tartu Observatory, Toravere, Estonia
73. David Kear, PhD, FRSNZ, CMG, geologist, former Director-General of NZ Dept. of Scientific & Industrial Research, Whakatane, Bay of Plenty, New Zealand
74. Madhav L. Khandekar, PhD, consultant meteorologist, (former) Research Scientist, Environment Canada, Editor "Climate Research” (03-05), Editorial Board Member "Natural Hazards, IPCC Expert Reviewer 2007, Unionville, Ontario, Canada
75. Leonid F. Khilyuk, PhD, Science Secretary, Russian Academy of Natural Sciences, Professor of Engineering, University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.
76. William Kininmonth MSc, MAdmin, former head of Australia’s National Climate Centre and a consultant to the World Meteorological organization’s Commission for Climatology, Kew, Victoria, Australia
77. Gary Kubat, BS (Atmospheric Science), MS (Atmospheric Science), professional meteorologist last 18 years, O'Fallon, Illinois, U.S.A.
78. Roar Larsen, Dr.ing.(PhD), Chief Scientist, SINTEF (Trondheim, Norway), Adjunct Professor, Norwegian University of Science and Technology, Trondheim, Norway
79. Douglas Leahey, PhD, meteorologist and air-quality consultant, President - Friends of Science, Calgary, Alberta, Canada
80. Jay Lehr, BEng (Princeton), PhD (environmental science and ground water hydrology), Science Director, The Heartland Institute, Chicago, Illinois, U.S.A.
81. Edward Liebsch, BS (Earth Science & Chemistry), MS (Meteorology, Pennsylvania State University), Senior Air Quality Scientist, HDR Inc., Maple Grove, MN, U.S.A.
82. Dr. Richard S. Lindzen, Alfred P. Sloan professor of meteorology, Dept. of Earth, Atmospheric and Planetary Sciences, Massachusetts Institute of Technology, Cambridge, Massachusetts, U.S.A.
83. Peter Link, BS, MS, PhD (Geology, Climatology), Geol/Paleoclimatology, retired, Active in Geol-paleoclimatology, Tulsa University and Industry, Evergreen, Colorado, U.S.A.
84. Anthony R. Lupo, Ph.D., Professor of Atmospheric Science, Department of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, University of Missouri, Columbia, Missouri, U.S.A.
85. Horst Malberg, PhD, former director of Institute of Meteorology, Free University of Berlin, Germany
86. Björn Malmgren, PhD, Professor Emeritus in Marine Geology, Paleoclimate Science, Goteborg University, retired, Norrtälje, Sweden
87. Fred Michel, PhD, Director, Institute of Environmental Sciences, Associate Professor of Earth Sciences, Carleton University, Ottawa, Ontario, Canada
88. Ferenc Mark Miskolczi, PhD, atmospheric physicist, formerly of NASA's Langley Research Center, Hampton, Virginia, U.S.A.
89. Asmunn Moene, PhD, MSc (Meteorology), former head of the Forecasting Centre, Meteorological Institute, Oslo, Norway
90. Cdr. M. R. Morgan, PhD, FRMetS, climate consultant, former Director in marine meteorology policy and planning in DND Canada, NATO and World Meteorological Organization and later a research scientist in global climatology at Exeter University, UK, now residing in Dartmouth, Nova Scotia, Canada
91. Nils-Axel Mörner, PhD (Sea Level Changes and Climate), Emeritus Professor of Paleogeophysics & Geodynamics, Stockholm University, Stockholm, Sweden
92. Robert Neff, M.S. (Meteorology, St Louis University), Weather Officer, USAF; Contractor support to NASA Meteorology Satellites, Retired, Camp Springs, Maryland, U.S.A.
93. John Nicol, PhD, Physics, (Retired) James Cook University, Chairman - Australian Climate Science Coalition, Brisbane, Australia
94. Ingemar Nordin, PhD, professor in philosophy of science (including a focus on "Climate research, philosophical and sociological aspects of a politicised research area"), Linköpings University, Sweden.
95. David Nowell, M.Sc., Fellow of the Royal Meteorological Society, former chairman of the NATO Meteorological Group, Ottawa, Ontario, Canada
96. James J. O'Brien, PhD, Emeritus Professor, Meteorology and Oceanography, Florida State University, Florida, U.S.A.
97. Peter Oliver, BSc (Geology), BSc (Hons, Geochemistry & Geophysics), MSc (Geochemistry), PhD (Geology), specialized in NZ quaternary glaciations, Geochemistry and Paleomagnetism, previously research scientist for the NZ Department of Scientific and Industrial Research, Upper Hutt, New Zealand
98. Cliff Ollier, D.Sc., Professor Emeritus (School of Earth and Environment), Research Fellow, University of Western Australia, Nedlands, W.A., Australia
99. Garth W. Paltridge, BSc Hons (Qld), MSc, PhD (Melb), DSc (Qld), Emeritus Professor, Honorary Research Fellow and former Director of the Institute of Antarctic and Southern Ocean Studies, University of Tasmania, Hobart, Visiting Fellow, RSBS, ANU, Canberra, ACT, Australia
100. R. Timothy Patterson, PhD, Professor, Dept. of Earth Sciences (paleoclimatology), Carleton University, Chair - International Climate Science Coalition, Ottawa, Ontario, Canada
101. Alfred H. Pekarek, PhD, Associate Professor of Geology, Earth and Atmospheric Sciences Department, St. Cloud State University, St. Cloud, Minnesota, U.S.A.
102. Ian Plimer, PhD, Professor of Mining Geology, The University of Adelaide; Emeritus Professor of Earth Sciences, The University of Melbourne, Australia
103. Daniel Joseph Pounder, BS (Meteorology, University of Oklahoma), MS (Atmospheric Sciences, University of Illinois, Urbana-Champaign); Weather Forecasting, Meteorologist, WILL AM/FM/TV, the public broadcasting station of the University of Illinois, Urbana, U.S.A.
104. Brian Pratt, PhD, Professor of Geology (Sedimentology), University of Saskatchewan, Saskatoon, Saskatchewan, Canada
105. Harry N.A. Priem, PhD, Professor (retired) Utrecht University, isotope and planetary geology, Past-President Royal Netherlands Society of Geology and Mining, former President of the Royal Geological and Mining Society of the Netherlands, Amsterdam, The Netherlands
106. Tom Quirk, MSc (Melbourne), D Phil, MA (Oxford), SMP (Harvard), Member of the Scientific Advisory Panel of the Australian Climate Science Coalition, Member Board Institute of Public Affairs, Melbourne, Victoria, Australia
107. George A. Reilly, PhD (Geology), Winnipeg, Manitoba, Canada
108. Robert G. Roper, PhD, DSc (University of Adelaide, South Australia), Emeritus Professor of Atmospheric Sciences, Georgia Institute of Technology, Atlanta, Georgia, U.S.A.
109. Arthur Rorsch, PhD, Emeritus Professor, Molecular Genetics, Leiden University, retired member board Netherlands Organization Applied Research TNO, Leiden, The Netherlands
110. Curt Rose, BA, MA (University of Western Ontario), MA, PhD (Clark University), Professor Emeritus, Department of Environmental Studies and Geography, Bishop's University, Sherbrooke, Quebec, Canada
111. Rob Scagel, MSc (forest microclimate specialist), Principal Consultant - Pacific Phytometric Consultants, Surrey, British Columbia, Canada
112. Clive Schaupmeyer, B.Sc., M.Sc., Professional Agrologist (awarded an Alberta "Distinguished Agrologist"), 40 years of weather and climate studies with respect to crops, Coaldale, Alberta, Canada
113. Bruce Schwoegler, BS (Meteorology and Naval Science, University of Wisconsin-Madison), Chief Technology Officer, MySky Communications Inc, meteorologist, science writer and principal/co-founder of MySky, Lakeville, Massachusetts, U.S.A.
114. John Shade, BS (Physics), MS (Atmospheric Physics), MS (Applied Statistics), Industrial Statistics Consultant, GDP, Dunfermline, Scotland, United Kingdom
115. Gary Sharp, PhD, Center for Climate/Ocean Resources Study, Salinas, California, U.S.A.
116. Thomas P. Sheahen, PhD (Physics, Massachusetts Institute of Technology), specialist in renewable energy, research and publication (Applied Optics) in modeling and measurement of absorption of infrared radiation by atmospheric CO2, Oakland, Maryland, U.S.A.
117. Paavo Siitam, M.Sc., agronomist and chemist, Cobourg, Ontario, Canada
118. L. Graham Smith, PhD, Associate Professor of Geography, specialising in Resource Management, University of Western Ontario, London, Ontario, Canada.
119. Roy W. Spencer, PhD, climatologist, Principal Research Scientist, Earth System Science Center, The University of Alabama, Huntsville, Alabama, U.S.A.
120. Walter Starck, PhD (Biological Oceanography), marine biologist (specialization in coral reefs and fisheries), author, photographer, Townsville, Australia
121. Peter Stilbs, TeknD, Professor of Physical Chemistry, Research Leader, School of Chemical Science and Engineering, Royal Institute of Technology (KTH), member of American Chemical Society and life member of American Physical Society, Chair of "Global Warming - Scientific Controversies in Climate Variability", International seminar meeting at KTH, 2006, Stockholm, Sweden
122. Arlin Super, PhD (Meteorology), former Professor of Meteorology at Montana State University, retired Research Meteorologist, U.S. Bureau of Reclamation, Saint Cloud, Minnesota, U.S.A.
123. George H. Taylor, B.A. (Mathematics, U.C. Santa Barbara), M.S. (Meteorology, University of Utah), Certified Consulting Meteorologist, Applied Climate Services, LLC, Former State Climatologist (Oregon), President, American Association of State Climatologists (1998-2000), Corvallis, Oregon, U.S.A.
124. Mitchell Taylor, PhD, Biologist (Polar Bear Specialist), Wildlife Research Section, Department of Environment, Igloolik, Nunavut, Canada
125. Hendrik Tennekes, PhD, former director of research, Royal Netherlands Meteorological Institute, Arnhem, The Netherlands
126. Frank Tipler, PhD, Professor of Mathematical Physics, astrophysics, Tulane University, New Orleans, Louisiana, U.S.A.
127. Edward M. Tomlinson, MS (Meteorology), Ph.D. (Meteorology, University of Utah), President, Applied Weather Associates, LLC (leader in extreme rainfall storm analyses), 21 years US Air Force in meteorology (Air Weather Service), Monument, Colorado, U.S.A.
128. Ralf D. Tscheuschner, Dr.rer.nat. (Theoretical physics: Quantum Theory), Freelance Lecturer and Researcher in Physics and Applied Informatics, Hamburg, Germany. Co-author of “Falsification of The Atmospheric CO2 Greenhouse Effects Within The Frame Of Physics, Int.J.Mod.Phys. 2009
129. Gerrit J. van der Lingen, PhD (Utrecht University), geologist and paleoclimatologist, climate change consultant, Geoscience Research and Investigations, Christchurch, New Zealand
130. A.J. (Tom) van Loon, PhD, Professor of Geology (Quaternary Geology), Adam Mickiewicz University, Poznan, Poland; former President of the European Association of Science Editors
131. Gösta Walin, PhD in Theoretical physics, Professor emeritus in oceanography, Earth Science Center, Göteborg University, Göteborg, Sweden
132. Neil Waterhouse, PhD (Physics, Thermal, Precise Temperature Measurement), retired, National Research Council, Bell Northern Research, Ottawa, Ontario, Canada
133. Anthony Watts, 25-year broadcast meteorology veteran and currently chief meteorologist for KPAY-AM radio. In 1987, he founded ItWorks, which supplies custom weather stations, Internet servers, weather graphics content, and broadcast video equipment. In 2007, Watts founded SurfaceStations.org, a Web site devoted to photographing and documenting the quality of weather stations across the U.S., U.S.A.
134. Charles L. Wax, PhD (physical geography: climatology, LSU), State Climatologist – Mississippi, past President of the American Association of State Climatologists, Professor, Department of Geosciences, Mississippi State University, U.S.A.
135. James Weeg, BS (Geology), MS (Environmental Science), Professional Geologist/hydrologist, Advent Environmental Inc, Mt. Pleasant, South Carolina, U.S.A.
136. Forese-Carlo Wezel, PhD, Emeritus Professor of Stratigraphy (global and Mediterranean geology, mass biotic extinctions and paleoclimatology), University of Urbino, Urbino, Italy
137. Boris Winterhalter, PhD, senior marine researcher (retired), Geological Survey of Finland, former adjunct professor in marine geology, University of Helsinki, Helsinki, Finland
138. David E. Wojick, PhD, PE, energy and environmental consultant, Technical Advisory Board member - Climate Science Coalition of America, Star Tannery, Virginia, U.S.A.
139. Raphael Wust, PhD, Adj Sen. Lecturer, Marine Geology/Sedimentology, James Cook University, Townsville, Australia
140. Stan Zlochen, BS (Atmospheric Science), MS (Atmospheric Science), USAF (retired), Omaha, Nebraska, U.S.A.
141. Dr. Bob Zybach, PhD (Oregon State University (OSU), Environmental Sciences Program), MAIS (OSU, Forest Ecology, Cultural Anthropology, Historical Archaeology), BS (OSU College of Forestry), President, NW Maps Co., Program Manager, Oregon Websites and Watersheds Project, Inc., Cottage Grove, Oregon, U.S.A.

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 23:30
epa-lisajacksonLe monde politico-médiatique, avec un bel ensemble, s'extasie devant l'astuce de Barack Obama et de Lisa Jackson [photo ci-contre en provenance du site de l'EPA ici], nommée par lui Administrator de cet organisme étatique, pour mettre hors jeu les représentants du peuple américain qui ne veulent pas voter une loi contraignante sur les émissions de gaz à effet de serre.

Quand le peuple vote mal, ou quand ses représentants ne veulent pas se soumettre, les dictateurs passent outre et décrètent. C'est ce que menace de faire ce grand démocrate de président américain, avec l'appui de l'EPA, l'Agence de protection de l'environnement.

Dans son édito, paru hier dans 24 Heures (ici), Philippe Dumartheray est aux anges :

"L'Amérique est de retour. Sur un sujet où elle n'était pas très attendue, celui du climat [...].

En faisant intervenir l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) dans le grand jeu de cette bataille climatique, Barack Obama a très subtilement manoeuvré. Sur le plan intérieur, il peut maintenant faire face au Congrès avec des arguments de poids. Il pourra tenir un discours plus ferme aux parlementaires proches des milieux du charbon ou du pétrole. En substance, soit vous travaillez avec nous, soit l'administration se servira de l'Agence de protection de l'environnement pour imposer de nouvelles réglementations. Avec comme argument choc, celui de mieux veiller sur la santé des américains
".

Si Philippe Dumartheray parle d' "un bien joli coup de pouce" reçu par la Conférence de Copenhague, Luis Lema parle, dans Le Temps (ici), de ""coup de force" d'Obama sur le climat". Certes il y met des guillemets pour en atténuer la portée, mais c'est bien d'un véritable coup de force, avoué, qu'il s'agit. Luis Lema se fait de plus le relais du maître-chanteur qui se cache derrière l'EPA :

"[La] volonté de régulation de [l'EPA], en s'appliquant de manière frontale, coûterait beaucoup plus cher aux entreprises sommées de s'y plier."

Les représentants du peuple américain ont donc intérêt à obtempérer s'ils ne veulent pas que l'addition ne soit bien plus sévère pour les entreprises américaines sous forme de réglementations accablantes et arbitraires.

Le Matin, lui (ici), parle de "premier geste" des Etats-Unis et se réjouit :

"Les conclusions de l'EPA marquent une avancée historique dans un pays qui n'a jamais ratifié le protocole de Kyoto".

Bref tous ces journalistes sont contents. Enclins à jouer les moralistes et les démocrates sourcilleux, ils ne voient même plus, en l'occurrence, qu'il s'agit d'un chantage, doublé d'un oukaze.

Quelle est l'astuce employée par l'EPA ? En préambule elle communique le 7 décembre 2009 :

"After a thorough examination of the scientific evidence and careful consideration of public comments, the U.S. Environmental Protection Agency (EPA) announced today that greenhouse gases (GHGs) threaten the public health and welfare of the American people. EPA also finds that GHG emissions from on-road vehicles contribute to that threat".

Ce qui en français veut dire :

"Après un examen approfondi de preuves scientifiques et une étude soigneuse de commentaires, l'EPA a annoncé aujourd'hui que les gaz à effet de serre menacent la santé publique et le bien-être du peuple américain. EPA trouve aussi que les émissions de gaz à effet de serre des véhicules routiers contribuent à cette menace".

L'EPA justifie ensuite cette annonce tonitruante, et politique, par tout ce que la propagande totalitaire de l'écologie politique nous martèle tous les jours depuis des mois, voire des années (voir mon article Les "climato-sceptiques" ne doivent pas désespérer Copenhague ) et qui, par sa répétition, deviendrait vérité, comme par enchantement.

La santé publique et le bien-être du peuple américain seraient ainsi menacés par des prévisions climatiques catastrophiques qui font pourtant de moins en moins l'unanimité des scientifiques, hormis ceux du GIEC, éclaboussés par le Climate Gate (voir mon article Le "climate-gate" pourrait donner raison aux sceptiques du climat ) et stipendiés par les Etats, aux frais de leurs contribuables.
 
L'EPA se propose donc d'imposer des réglementations qui ne reposent que sur des allégations sans preuves, contrairement à ce qu'elle affirme effrontément, pour justifier son diktat. En effet les catastrophes annoncées sont hypothétiques, disproportionnées, alarmistes. La covariation du CO2 et de l'augmentation de la température moyenne de l'atmosphère - dont la mesure est d'ailleurs problématique - est sujette à caution, et ne prouve rien. Quant aux autres gaz à effet de serre, hormis la vapeur d'eau, ils ont de très faibles concentrations dans l'atmosphère, si l'effet de serre de certains est beaucoup plus efficace que celui du CO2.

Sans les catastrophes prédites par des modèles climatiques que l'observation contredit, il serait difficile de mettre au banc d'infamie les gaz à effet de serre et l'effet de serre lui-même. En effet, si les oxydes d'azote, cités par l'EPA, et l'ozone, non cité par l'EPA, sont des gaz à effet de serre toxiques, qu'il convient de combattre et contenir, les autres gaz à effet de serre, tels que la vapeur d'eau - qui est le plus important, mais que l' EPA ne cite pas -, le dioxyde de carbone, le méthane, les hydrofluorocarbures, les perfluorocarbures, l'hexafluorure de soufre, ne le sont pas. Quant à l'effet de serre lui-même il est difficile de le mettre en cause puisque sans lui la température sur Terre serait glaciale.

Reposant sur une imposture scientifique, l'astuce de l' EPA, pour imposer la réduction massive, arbitraire et coûteuse, des émissions de gaz à effet de serre, est une imposture de plus.

Francis Richard

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7 décembre 2009 1 07 /12 /décembre /2009 20:00
Une étiquette a été donnée aux sceptiques du climat par leurs adversaires. Ce sont désormais les "climato-sceptiques", terme que je reprends pour la plus grande diffusion possible de cet article, mais qui ne me semble pas correspondre à la réalité, sémantiquement parlant [la photo ci-contre provient de France 24 ici]. 

Il me semblerait plus juste de donner aux scientifiques sceptiques le beau nom de "dissidents du climat", qui tels les dissidents russes luttent, avec leurs faibles moyens - internet principalement, le samizdat moderne - contre le nouveau totalitarisme, celui de la religion de l'écologie politique qui voit dans l'homme le principal, voire l'unique responsable du "réchauffement climatique", avec ses émissions de dioxyde de carbone, et qui bénéficie des largesses des contribuables de tous les pays.

Je ne crains pas d'employer le mot de totalitarisme. Pourquoi ? Ecoutez n'importe quelle station de radio d'importance, n'importe quelle chaîne de télévision, ouvrez n'importe quel journal de la presse écrite, lisez les blogs mis en ligne par tout ce monde-là, et vous n'aurez qu'un son de cloche, qu'une seule façon de voir, que l'on vous ressasse indéfiniment, comme pour mieux vous en pénétrer, vous empêcher de réfléchir et d'exercer votre esprit critique. Et si par malheur vous osez le faire vous êtes affublé de l'étiquette de "négationnistes", qui a la connotation infâmante que l'on sait.

L'éditorial du Temps de ce jour (ici) en est un exemple frappant :

"Aujourd'hui, 56 journaux de 45 pays ont pris l'initiative inédite de parler d'une seule voix à travers un seul et même éditorial. Nous le faisons car l'humanité est confrontée à une urgence extrême".

Suivent la vérité officielle et la pensée unique, qu'il n'est pas permis de discuter ni de contester :

"11 des 14 dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées, la calotte glaciaire de l'Arctique est en train de fondre et le prix du pétrole et de la nourriture, qui ont pris l'ascenseur l'année dernière donnent un avant-goût du désastre à venir (...).

Le monde doit prendre des mesures pour limiter à 2°C les hausses de température, un but qui requiert que les émissions globales atteignent leur plus haut point puis commencent à baisser d'ici cinq à dix ans.

Une hausse de température plus grande, de 3-4°C - la plus faible augmentation qu'on peut prudemment escompter si l'on reste inactif - dessécherait les continents, transformant les terres agricoles en déserts. La moitié de toutes les espèces pourrait s'éteindre, des millions de gens seraient déplacés, des pays entiers seraient noyés par les océans
."

De mémoire d'homme je ne me souviens pas de pareil bourrage de crâne planétaire, même au temps béni du communisme triomphant.

D'une phrase le "climate-gate" est balayé comme d'un revers de main par cet éditorial unique :

"La controverse sur les courriers électroniques que des chercheurs britanniques auraient manipulés pour faire paraître des données gênantes a semé le trouble, mais elle n'est pas de nature à remettre en cause la base des prévisions établies jusqu'ici".

L'internaute pourra juger en lisant mon article consacré au sujet (ici), que je ne fais pourtant qu'effleurer, que l'inposture est d'une tout autre importance, d'une tout autre nature. Il lui suffira de se reporter aux articles écrits sur le sujet par Skyfal (ici), La pensée unique (ici) ou Objectif liberté (ici) pour se rendre compte que justement la malhonnêteté intellectuelle des pontes du GIEC met fortement en cause les "prévisions établies jusqu'ici", qui relèvent davantage de la politique que de la science, ou alors de la science-fiction.

Quand je parle de politique je ne fais que constater. Un paragraphe de l'éditorial du Temps et consorts est à ce propos révélateur :

"Les pays riches aiment à souligner cette vérité arithmétique selon laquelle il ne peut y avoir de solution tant que les géants en développement comme la Chine ne prennent pas des mesures plus radicales que celles qu'ils ont prises jusqu'ici. Mais le monde riche est responsable de la plupart du carbone accumulé - les trois quarts de l'ensemble du dioxyde de carbone [CO2] émis depuis 1850. Il doit à présent prendre les devants, et chaque pays développé doit s'engager à effectuer d'importantes réductions qui baisseront en dix ans leurs émissions de façon très substantielle par rapport au niveau de 1990".

Voici un échantillon des journaux européens qui se sont prêtés à cette propagande de "décérébration" massive, auxquels - je le constate avec réconfort - les journaux américains se sont bien gardés de participer : 

- En Suisse, Le Temps
- En France, Le Monde et Libération
- Au Royaume-Uni, The Guardian
- En Espagne, El Mundo et El Pais
- En Italie, La Repubblica et le Corriere delle Sera

En somme les fleurons de la bien-pensance.

Les lecteurs de ces journaux ne sauront donc pas ce que disent les "climato-sceptiques".

Par exemple que le CO2 n'est qu'un gaz à effet de serre parmi d'autres, dont le plus important est sans conteste la vapeur d'eau. La concentration de CO2 dans l'atmosphère n'a qu'une faible influence sur la hausse de température. L'augmentation de CO2 serait davantage l'effet du réchauffement que la cause. S'il y a réchauffement... Car s'il est indéniable qu'il y a un réchauffement dans l'hémisphère Nord, inégal d'ailleurs, ces médias ne disent pas que tel n'est pas le cas dans l'hémisphère Sud...  

En disant que "11 des 14 dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées" ces auteurs laissent entendre que des températures comme celles que nous connaissons actuellement n'ont jamais été atteintes lors des derniers sièclesQue les températures de l'optimum médiéval aient été supérieures de 0,5° à 2°C aux températures actuelles ne les émeut pas outre mesure.

Ces médias oublient également, s'il y a réchauffement, que la concentration de CO2, qui n'est pas un gaz toxique, peut avoir des effets bénéfiques, notamment sur la végétation (1). Mais non, le CO2 voilà l'ennemi. Pour sauver la planète je leur suggère de diminuer de manière drastique le nombre d'hommes sur la Terre, parce que leurs émissions de C02 (ici) sont incompatibles avec le réchauffement. D'autres totalitaires, du XXe siècle, avant les écologistes politiques, avaient même trouvé moyen de le faire industriellement.

Il faut que l'homme meure, comme le grain, pour que vive Gaïa et que Copenhague ne désespère pas...

Francis Richard

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(1) Voici une video qui démontre les bienfaits que peut avoir le CO2 sur la végétation (indiquée par Ben Palmer en commentaire de mon article L'astuce de l'EPA (Environmental Protection Agency) est une imposture de plus ) :

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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 10:30
Skyfal, aka Changement Climatique (ici), publie le 16 octobre 2009 un article, dont je ne connais pas la teneur, puisqu'il a été retiré (ici) sous la pression de Spectro Sciences (ici), qui accuse Skyfal de l'avoir plagié. Spectro Sciences fait pression dans un commentaire à cet article, commentaire que voici :

32.  spectrosciences | 19/10/2009 @ 10:22 Répondre à ce commentaire

A L’ATTENTION DU WEBMESTRE

Monsieur,

Suite à l’absence de réponse à notre courrier, nous vous signalons à nouveau avoir pris connaissance de votre plagiat de deux articles de notre site SpectroSciences.

Nous vous demandons de retirer immédiatement ces textes - plagiés sans aucune autorisation de notre part - et de vous contenter de liens hypertexte pour les citer.

En cas de refus ou d’absence de réponse de votre part, nous nous réservons le droit de contacter votre hébergeur.

Le Webmestre SpectroSciences

Qu'y a-t-il donc dans cet article reproduit par Skyfal qui gêne tant Spectro Sciences ?

Je ne ferai qu'une citation de cet article, paru sur Spectro Sciences le 3 septembre 2007 (ici), qui fait mention d'un nouveau modèle climatique [la photo d'un modèle climatique reproduite ci-dessus provient du CNRS ici], particulièrement performant :

"Si ce modèle est correct, leur simulation sur la tranche 2005-2014 permet de constater que les effets du réchauffement climatique ont été jusqu’à présent compensés par des phénomènes naturels, comme le refroidissement dans une partie du Pacifique et la résistance au réchauffement de l’océan Arctique. Mais à partir de 2009, les températures devraient s’élever brutalement."

Ce modèle climatique performant s'est, semble-t-il, complètement trompé, à deux ans de distance. Que valent les prévisions d'un tel modèle ? Est-ce pourquoi Spectro Sciences demande maintenant que Skyfal ne mette même plus de lien vers cet article ?

Spectro Sciences en effet vient d'envoyer un nouveau message à Skyfal, publié par ce dernier le 01.12.09 (ici) :

SpectroSciences wrote :
Bonjour,

Nous vous informons que nous avons changé notre opinion à l'égard de votre
article :

http://skyfal.free.fr/?p=405

Conformément au droit sur Internet, nous demandons désormais la suppression
de toute url pointant vers notre nom de domaine "spectrosciences.com" de votre
site web.

Nous serons dans l'obligation de contacter votre hébergeur si ceci n'est pas
appliqué dans les plus brefs délais.

Website: http://www.spectrosciences.com/


Auquel Skyfal répond :

A l'attention de SpectroSciences,

Bonjour,
Merci de m'avoir signalé mon infraction. Auriez vous la gentillesse de bien vouloir m'indiquer l'article de "droit sur Internet" qui interdit à notre blog d'inclure un lien pointant vers Spectrascience s'il vous plaît ? Dès que j'aurai connaissance de cette restriction légale, je ne manquerai pas de transmettre à nos services juridiques qui s'aviseront.

A moins que vous ne souhaiteriez vous adresser directement à eux, dont ci-joint l'adresse afin d'accélérer le traitement de votre requête : http://tinyurl.com/2clq2h

Meilleures salutations.

Frédéric, admin Skyfal.

Qui se révèle malhonnête et n'aime pas que cela se sache ?

Francis Richard

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23 novembre 2009 1 23 /11 /novembre /2009 22:15

Des pirates ont téléchargé des milliers de courriels et de documents depuis le Centre de recherche sur le climat, CRU, de l'Université d'East Anglia, en Grande-Bretagne [photo ci-contre publiée par Le Point ici]. Un lien vers ce fichier de 62 mégabytes, posté sur un serveur russe, a été laissé le 19 novembre dernier sur le blog de Jeff Id, The Air Vent (ici), qui semble être à l'origine de sa large diffusion sur la Toile.

Phil Jones, le directeur du CRU (ici), reconnaît que son centre a bien été piraté le 17 novembre et qu'à première vue les courriels et les documents publiés sont authentiques. Mais, compte tenu de leur nombre, des milliers, datés de 1996 à 2009, il convient d'être prudent...

Toutefois, si ces courriels et documents se révélaient authentiques, comme ils en ont tout l'air, ils constitueraient une véritable bombe avant le sommet sur le climat, organisé par l'ONU, qui doit se tenir du 7 au 18 décembre prochain à Copenhague.

En effet,  selon Le Point (ici), le CRU est "un des principaux acteurs du rapport du GIEC", le Groupement intergouvernemental d'experts sur le climat, et les courriels et documents piratés mettent en cause le comportement et l'honnêteté intellectuelle des climatologues les plus réputés, et les plus corrects, du monde...

Toujours selon Le Point les citations, faites sur des sites climat-sceptiques, seraient sorties de leur contexte et seraient de mauvaise foi. C'est, semble-t-il, le mot d'ordre qui a été lancé dans les médias, par les auteurs de ces courriels pris la main dans le sac. Histoire de minimiser l'impact des révélations climatiquement incorrectes, dont ils sont l'objet.

Hier le site Changement climatique faisait un premier inventaire (ici) de ce que l'on peut trouver dans ce fichier géant en mettant en lien les courriels en question. Ce n'est pas triste... Je ne résiste pas à vous en donner quelques exemples. 

Ainsi Graham Haughton, écrivant à Phil Jones (ici), se sent-il plus libre de pousser ses pions environnementaux depuis que la sceptique Sonja Boemer Christiansen a pris sa retraite...

Ainsi Michael Mann explique-t-il  (ici) que le meilleur moyen de couler l'impartiale Climate Review, qui ose donner la parole aux sceptiques, est de ne plus y publier d'articles...

Ainsi Tim Osborn reconnaît-il (ici) avoir tronqué des courbes de températures, en supprimant les dernières années, qui laissent malencontreusement apparaître une inflexion ... vers un refroidissement climatique.

Ainsi Phil Jones se réjouit-il (ici) de la disparition du sceptique John Daly : "in an odd way this is cheering news" (en quelque sorte c'est une bonne nouvelle).  

Ainsi Helen Wallace de Greenpeace a-t-elle aidé (ici) les climatologues AJ McMichael et M Hulme à rédiger une lettre destinée au Times. L'utilisation des énergies fossiles inquiète ces scientifiques éminents, qui ne veulent pas - cela va de soi - s'immiscer dans la querelle entre BP et Greenpeace...

Ainsi Mann va-t-il intervenir (ici) auprès de Richard Black de la BBC pour lui demander comment il se fait qu'un de ses collègues, Paul Hudson, ait eu le culot d'écrire que depuis 1998 il n'y a plus de hausse des températures et que les oscillations pacifiques devraient avoir pour conséquence un refroidissement pendant les 20 à 30 prochaines années...

Ces exemples sont les premiers d'une longue liste dressée par Changement climatique. S'ils sont avérés - et il y a de grandes chances qu'ils le soient - ils en disent long sur la mentalité de ces scientifiques arrogants, qui croient détenir à eux seuls la vérité sur le climat et font taire toute voix discordante, avec la complicité criminelle de l'ensemble des médias.

La tentative opérée aujourd'hui  (ici) par Michel Jarraud, secrétaire général de l'Organisation météorologique mondiale, OMM, de faire peur aux populations avec une prétendue augmentation de 1,9 ppm sur 385,2 ppm de CO2 dans l'atmosphère, n'en paraît que plus pathétique.  L'OMM  (ici) est en effet, comme le GIEC, une organisation satellite des Nations-Unies, et un sacré fromage...

Mais il est vrai qu' il ne faut pas désespérer Copenhague...

Francis Richard


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Voici la video dont Ben Palmer m' a transmis le lien (voir son commentaire à mon article La prohibition de fumer nuit gravement à la santé des cafés et restaurants  ). L'internaute pourra voir de ses propres yeux quelle réponse est apportée par un scientifique servile à une question gênante sur le "Climate Gate", posée par un journaliste indépendant :
 


l

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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 14:00

Certes il est possible de couper l'accès à Internet, mais c'est difficile de le faire partout à la fois dans le monde entier. C'est pourquoi Internet demeure un espace de libertés sans commune mesure avec toutes les inventions de médias précédentes. Dans les médias concurrents il y a des omissions qui confinent au mensonge organisé et qui peuvent être réparées sur la Toile.

C'est ainsi que, hier soir, 18 octobre 2009, un film a été lancé aux Etats-Unis (ici) sur la Toile. Son titre : Not evil just wrong (pas mauvais juste faux). Qui vous en a parlé dans vos médias préférés sur papier ou sur écran? ...(silence éloquent). Pourquoi? Parce qu'il prend le contrepied de films, tels que An inconvenient truth d'Al Gore ou Home d'Arthus Bertrand - dont on vous a rebattu les oreilles et qui vous ont été présentés comme l'unique et incontestable vérité.

Ce film montre la fausseté de ce que veulent nous faire croire les alarmistes du réchauffement climatique [la photo est une annonce publiée par le Heartland Institute dans le Washington Post ici] et leurs prophéties hystériques. Les hommes, dotés d'un pouvoir qui flatte leur orgueil, seraient en train de tuer la planète. En fait l'extrémisme environnemental d'Al Gore et consorts et leur pseudo science est une menace bien réelle pour l'humanité.

Si nous écoutons ces prophètes de malheur, bouffis d'arrogance et de présomption, et si nous suivons leurs préconisations, que la science ne justifie pas, des millions d'emplois seront détruits. Il ne s'agit pas là d'alarmisme, mais de conséquences logiques de l'économie régulée, et des taxes de tout genre qui seront prélevées au passage pour alimenter ces monstruosités technocratiques, déconnectées du réel.

Le film dénonce les impostures des experts, des politiciens, des éducateurs et des médias, qui depuis des années bourrent le crâne des hommes, les culpabilisent dans la meilleure tradition des puritains, et leur assènent des contre-vérités quotidiennement, sans que la parole ne soit jamais donnée aux sceptiques et aux dissidents, sinon pour les débiner aussitôt après, dans la meilleure tradition des totalitaires.

Sur le site du film vous pourrez lire ce paragraphe qui est certainement plus éloquent que tous les discours :

Aujourd'hui plus de 31'000 scientifiques disent qu'Al Gore a tort. Que le CO2 a peu d'effet sur les températures de la planète, et qu'il n'y a pas de crise du climat. Mais Not Evil Just Wrong est le film qui explique tout cela et qui changera de manière décisive l'esprit du public au sujet du réchauffement climatique. Un film qui changera l'histoire.

Des projections publiques, en accord avec la production américaine, ont été organisées hier en Belgique (ici), ce soir en France (ici) et (ici). Vous pouvez également télécharger le film sur le site qui lui est dédié (ici). Ainsi partagerez-vous ce que des dizaines de milliers d'Américains ont pu voir avant vous. Vous ne mourrez pas écologiquement idiots.

Francis Richard

Voici en hors-d'oeuvre la bande-annonce sur YouTube :

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20 juillet 2009 1 20 /07 /juillet /2009 22:00
L'IREF (Institut de recherches économiques et fiscales) (ici) vient d'éditer en français le livre du président tchèque paru il y a un peu plus de deux ans.

Qu'est-ce que l'IREF ? La première phrase de présentation, figurant sur le site de cet institut, en résume synthétiquement l'objet : 

L'Institut de Recherches Économiques et Fiscales (I.R.E.F.) a été fondé en 2002 par des membres de la société civile issus de milieux académiques et professionnels dans le but de développer une plateforme performante sur l'étude des problèmes fiscaux.


Certains des administrateurs de cet institut  sont connus des Internautes qui me lisent, tels que l'avocat belge Thierry Afschrift, la présidente de l' Institut Constant de Rebecque Victoria Curzon-Price ou le professeur émérite de l'Université Paul Cézanne d'Aix-en- Provence Jacques Garello, lequel, d'ailleurs, préface cet ouvrage.

Qui ne connaît pas Vaclav Klaus ? Personne. Surtout depuis qu'il a présidé l'Union européenne pendant les six premiers mois de cette année 2009. Mais qui le connaît bien ? Peu de monde. En fait la plupart des gens connaissent bien mal le Président tchèque, qui a été auparavant Ministre de l'économie, puis Premier ministre de son pays. Désinformation oblige.

Il est davantage homme de conviction que de pouvoir, nous dit Jacques Garello, qui, dans sa préface, cite deux parmi les nombreuses actions qui ont rendu cet économiste libéral populaire dans son pays :

Il applique ses connaissances d'économie à la politique : il est le Premier ministre de l'économie tchèque, et réussit parfaitement le programme de privatisations en remettant les titres de propriété à la population qui avait payé un lourd tribut au communisme spoliateur.

Il réussit une opération délicate, où il montre sa force de caractère mais aussi ses talents de négociateur : la séparation de la République Tchèque et de la Slovaquie.

Est-il eurosceptique comme les médias se plaisent à l'anônner en choeur ?

Vaclav Klaus refuse de remettre un pouvoir politique entre les mains d'un gouvernement de l'Union dont on ne sait comment il serait démocratiquement élu et contrôlé. En revanche il est partisan d'une Europe sans frontières économiques, unie par une culture respectueuse des droits personnels et de la liberté individuelle.

De quoi donner des boutons à plus d'un européiste...

Ce livre, vieux de deux ans et demi, n'a pas eu le temps de prendre une ride et il faut remercier l'IREF d'avoir pris l'initiative de le traduire et de le publier, parce que, parmi les livres écologiquement - et donc politiquement - incorrect, il occupe une place tout à fait à part. En effet son auteur, défenseur des libertés, ne se place pas essentiellement - hormis dans le chapitre 6 - d'un point de vue scientifique pour critiquer l'hystérie environnementaliste, mais du point de vue de ses connaissances économiques. Ce n'est pas pour rien que le sous-titre du livre pose la question :

Qu'est-ce qui est en danger aujourd'hui : le climat ou la liberté ?

Les environnementalistes n'acceptent pas que le monde change. Ce sont des conservateurs au sens péjoratif du terme. Or nous rappelle Vaclav Klaus :

Toute l'histoire de notre planète, l'état et la physionomie des terres, des eaux, la structure des espèces animales et végétales, le développement de l'atmosphère etc. sont sujets à un processus permanent de changements provoqués tant par des mécanismes naturels endogènes complexes que par des facteurs exogènes que nous ne pouvons influencer et qui sont - telle par exemple l'action du soleil - absolument hors de notre portée.

Plutôt que rester confits dans leur déni de réalité, nos environnementalistes feraient bien de faire leur - et de réciter - cette prière attribuée à Marc-Aurèle et que ma mère a eu raison de m'enseigner :

Donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux changer, le courage de changer celles que je peux changer, et la sagesse de distinguer l’un de l’autre.

Vaclav Klaus poursuit :

Il n'existe aucun état optimal du monde déterminé à l'avance que nous ayons l'obligation de protéger. L'état du monde est le résultat spontané de l'interaction d'un nombre immense de facteurs cosmiques, géologiques, climatiques (et encore beaucoup d'autres), aussi bien que de l'action des organismes vivants, qui vont toujours dans le sens de la recherche des conditions optimales pour leur reproduction. L'équilibre qui se fait dans la nature est un équilibre dynamique.

A propos des ressources Vaclav Klaus cite la formule - qu'il qualifie de saisissante - de l'économiste libéral Peter Aranson :

Les réserves de ressources augmentent avec les réserves du savoir.

Pourquoi cela ? Pour la simple raison qu'aucune réserve n'existe "en soi", parce qu'une ressource est toujours fonction d'un prix et d'une technologie.
Comme nous l'enseigne l'histoire, on n'abandonne pas une ressource parce qu'elle manque mais parce qu'on a trouvé quelque chose de nouveau - et de mieux - pour la remplacer.

C'est encore l'économiste qui parle en lui quand Vaclav Klaus dit :

Il n'existe aucune ressource sans l'homme et aucun "besoin" de quelque ressource que ce soit ne peut être mesuré sans un prix.

La vision statique de l'équilibre du monde conduit les environnementalistes à faire des prévisions à long terme - ce qui est une grave erreur - sur la base des technologies et de la richesse actuelles :

Il est prévisible que beaucoup de choses connues à notre époque n'existeront plus du tout tandis que beaucoup de choses encore inconnues, et dont l'on ne se doute même pas aujourd'hui, existeront alors.

Il n'y a pas que certains historiens ou médias qui commettent des anachronismes ...

Le concept d'actualisation, utilisé en économie - qui permet de résoudre le dilemme des choix intertemporels - ne s'applique pas seulement à l'économie : 

Le point de départ obligé de tout raisonnement et comportement humain rationnel réside dans le fait incontestable que le dollar (et quoi que ce soit d'autre) est plus "petit" dans le futur que le dollar d'aujourd'hui, et qu'un raisonnement inverse n'a pas de sens.

Le taux d'actualisation n'étant rien d'autre que le prix du temps :

Si les gens considéraient le taux d'actualisation comme nul (ou proche de zéro), ils ne pourraient absolument pas penser au futur de manière rationnelle, ils ne pourraient investir, ni même épargner de manière rationnelle. Ils ne pourraient prendre aucune décision à propos du futur.

Le raisonnement des environnementalistes revient justement à considérer le taux d'actualisation comme nul ou proche de zéro ce qui a pour conséquence de grossir les effets à venir, à faire du catastrophisme.

L'économiste va très professionnellement faire une analyse coûts-bénéfices. Cette analyse va lui permettre de prendre une décision. Or à quoi revient, par exemple, le protocole de Kyoto ? 
A réduire d'un tiers notre utilisation d'énergie, le résultat étant, d'ici 2050, une baisse de la température de 0,05 degré !

En réponse à cette absurdité Vaclav Klaus cite le professeur Fred Singer :

Je n'achète pas une assurance si le risque est faible et la prime élevée. On nous demande de mettre en oeuvre une politique "d'assurance" même lorsque le risque est très limité (à supposer même qu'il existe) et de payer des primes très élevées.

Enfin Vaclav Klaus montre que les problèmes d'environnement ne peuvent pas être résolus par la contrainte, quelle que soit la forme qu'elle revêt - dirigisme, régulation, planification ou constructivisme - mais par le progrès technique et par l'enrichissement de la société, fruits du meilleur environnement que l'on puisse souhaiter à l'homme, et créer pour lui, celui de la liberté :

Nous sommes nombreux à le savoir en théorie depuis longtemps, et la pratique communiste aurait dû convaincre les autres : sans marché, sans prix, sans propriété privée et sans profit, il n'est pas possible d'avoir le moindre respect pour l'homme ni pour la nature.

La préface de Jacques Garello commence par cette phrase :

Vous allez dévorer ce petit livre, vous allez le faire connaître autour de vous.

J'ai dévoré ce petit livre et je m'efforce - cet article en est la preuve - de le faire connaître autour de moi.

Francis Richard

L'internaute peut écouter Vaclav Klaus s'exprimer sur l'environnementalisme le 9 mars 2007 devant les caméras de Fora TV :

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 06:15

Les résultats des élections européennes en France sont affligeants, surtout ceux obtenus par la liste Europe-Ecologie, qui a dû, compte tenu du score obtenu, recueillir des suffrages de gogos de gauche comme de droite. Ils illustrent ces propos du livre que publie Christian Gerondeau aux éditions du Toucan (ici) :

Le mouvement écologiste est pour une large part constitué de militants d'extrême-gauche ou de sensibilité d'extrême-gauche qui ont pris les thèses écologistes pour déguisement.

On ne présente plus Daniel Cohn-Bendit, l'enragé de mai 68, ni José Bové, l'altermondialiste...

Le livre de Christian Gerondeau, avec des arguments nouveaux, contribue à mettre en cause la pensée unique écologique qui règne aujourd'hui sans partage.

Le ton est donné dès le premier chapitre où l'auteur, chiffres à l'appui, montre que l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre est inéluctable. Il y a en effet quatre sources d'émission : le pétrole, le gaz naturel, le charbon, le bétail. Les émissions continueront d'augmenter tant que les trois premières sources ne seront pas épuisées et que ... nous continuerons à manger de la viande.

D'une part :

Le pétrole, le gaz naturel, le charbon sont trop précieux, et trop indispensables à la sortie de la misère de l'essentiel des hommes, des femmes et des enfants qui peuplent notre globe pour qu'ils ne soient pas exploités en totalité, et il est inutile de nous interroger sur ce que nous pourrions faire nous-mêmes dans le but de "sauver la planète" en réduisant les émissions de gaz qui peuvent lui nuire. Nos efforts ne serviront à rien sur ce plan puisque ce que nous n'utiliserons pas le sera par les autres, et que les émissions prendront place en tout état de cause et resteront inchangées au niveau de la planète.

D'autre part :

Si nous devenions tous végétariens, la contribution de l'agriculture à la production de gaz à effet de serre chuterait (...) brutalement. Mais comme cette hypothèse n'est guère crédible, c'est à un accroissement des émissions atmosphériques correspondantes qu'il faut s'attendre au fur et à mesure du recul de la faim dans le monde et du développement de l'élevage, qui, sauf chez les végétariens, accompagne toujours l'élévation du niveau de vie.

Après quoi l'auteur, dans un deuxième chapitre, montre le vrai visage des activistes du changement climatique, non sans avoir au préalable démontrer, courbes à l'appui, qu'il n'y a pas corrélation entre l'évolution de la température moyenne du globe et l'augmentation de la teneur en CO2 dans l'atmosphère et qu'il n'est pas possible de rendre responsable, ni coupable, l'activité humaine des changements climatiques, qui ont par ailleurs toujours existé et n'ont pas attendu que l'activité humaine se développe.

A tout seigneur tout honneur, il commence par le bureau du GIEC, qui n'est pas comme son nom l'indique en français (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat) composé d'experts, mais de représentants gouvernementaux, comme son nom l'indique en anglais IPCC (Intergovernemental Panel on Climate Change) :

Les conclusions et recommandations du GIEC ne sont pas le reflet de 2'500 experts indépendants comme on le lit partout, mais émanent d'un noyau de quelques dizaines de représentants de ministères de l'Ecologie des pays membres, choisis en fonction de leurs prises de position antérieures et de leurs orientations, et qui sont tout sauf neutres et indépendants. C'est notamment ce petit groupe qui élabore le seul document lisible par les non-spécialistes, le "résumé à l'intention des décideurs". Chaque paragraphe, chaque ligne, chaque mot y sont longuement discutés, et le résultat contredit souvent les travaux des "2'500 experts" qui n'ont alors pas voix au chapitre.

Les experts parlent d'une élévation du niveau de la mer de 30 cm et d'une élévation de 2 à 3°C de la température moyenne du globe en un siècle. Le bureau en tire des conséquences apocalyptiques et disproportionnées, voire risibles, si elles ne se traduisaient pas par des recommandations ruineuses et démesurément alarmistes.

Les autres activistes sont le climatologue américain James Hansen, Al Gore le charlatan, condamné par la justice anglaise, l'économiste Nicholas Stern, l'Agence internationale de l'énergie et divers groupes de pression, que l'auteur épingle dans ce livre décapant, qui n'est pas recommandable aux âmes conformistes.

Dans le troisième chapitre l'auteur montre que les trois grandes peurs que sont l'après-pétrole, le manque d'électricité et la grande peur climatique n'ont pas lieu d'être. 

Grâce au progrès technique, les véhicules consommeront de moins en moins et il existe des pistes prometteuses de carburants de substitution.

L'électricité, produite dans un premier temps, pour des raisons de coûts, par des centrales thermiques à charbon, le sera par la suite par des réacteurs nucléaires fonctionnant en "surrégénérateurs" quand les obstacles techniques, qui subsistent encore actuellement, auront été levés.

Quant à la grande peur climatique engendrée par la multiplication de tempêtes, tornades et cyclones, les statistiques montrent que ces phénomènes atmosphériques ne sont pas plus nombreux qu'auparavant, même s'ils peuvent être plus violents, et que les hommes s'y préparent de mieux en mieux, sauf dans des dictatures tropicales et rétrogrades comme celle qui sévit en Birmanie. Plutôt que de vouloir empêcher à coups de milliards ce qui est inéluctable, il vaudrait mieux utiliser ces milliards pour s'adapter aux changements.

Des milliards sont dépensés par les pouvoirs publics français en pure perte pour favoriser les énergies renouvelables. En réalité l'argent dépensé l'est en faveur de certains aux dépens de tous les autres. C'est ce que l'auteur décrit dans le quatrième chapitre relatif à la décroissance verte.

En effet, pour "sauver la planète", les pouvoirs publics français font la fortune de petits malins qui récoltent la manne étatique. Des entrepreneurs, fabriquant des éoliennes et des panneaux solaires, s'enrichissent grâce aux subventions. Les promoteurs qui vendent des éoliennes, ou les clients des panneaux solaires, produisent de l'électricité qu'ils vendent à ERDF à un prix exorbitant pendant de longues années. Qui paie ? Tous ceux qui ne participent pas à ce marché juteux. Autrement dit les contribuables.

Or il faut savoir qu'en France 80% de l'électricité est produit par les centrales nucléaires et 12% par les équipements hydrauliques. La France n'a donc pas vraiment besoin de ces énergies renouvelables, d'autant qu'elle produit la plupart du temps de l'électricité en excédent et que ses principales sources d'énergie électriques n'émettent pas de gaz à effet de serre. La France est un modèle du genre. 

En outre il faut savoir par exemple que ni les éoliennes ni les panneaux solaires ne sont réellement rentables économiquement. Les éoliennes ne fonctionnent que quand il y a du vent, c'est-à-dire seulement  un quart du temps. Le reste du temps il faut compléter avec ... des centrales thermiques qui par leur souplesse peuvent combler les temps morts  et qui émettent du CO2...ce que les pouvoirs publics prétendent vouloir éviter. De plus les éoliennes sont particulièrement laides et défigurent le paysage, la hauteur des plus récentes étant de 150 à 180 mètres !

Le transport ferroviaire, présenté comme le moyen de transport le plus écologique, et le plus économique, reste le plus beau fleuron de l'arnaque écologiste, à laquelle le contribuable participe malgré lui. Quelques chiffres permettent de le situer par rapport aux 240 milliards d'euros que les Français consacrent à leurs déplacements et au transport de marchandises :

Sur cette somme, 213 milliards vont au transport routier, c'est-à-dire aux voitures et aux camions, 17,5 milliards au transport aérien, 9 milliards au transport ferroviaire, 2 milliards aux transports urbains et 0,5 milliards à la voie d'eau (...). 83% des kiomètres parcourus dans notre pays le sont en automobile contre 8% par les chemins de fer. Pour les marchandises, la disproportion est plus grande encore. Les wagons de marchandises parcourent chaque année 2 milliards de kilomètres contre 35 milliards pour les poids lourds et 93 pour les camionnettes, sans parler de plus de 400 milliards pour les voitures.

Alors que les chemins de fer français représentent moins de 5% des besoins de transport terrestre, ils bénéficient d'une manne étatique supérieure à celle dévolue aux universités :

Les dépenses consenties par notre pays en faveur des chemins de fer s'élèvent en effet chaque année à plus de 21 milliards d'euros, alors que les recettes provenant des usagers, c'est-à-dire le chiffre d'affaires de l'activité, n'excèdent pas 9 milliards et demi.

Ce qui n'empêche pas les autorités de parler de bénéfices...

Le bilan financier des transports urbains est encore moins reluisant :

Au niveau national, les dépenses annuelles en leur faveur - exploitation et investissements . dépassent les 10 milliards d'euros (banlieue SNCF exclue) alors que les recettes perçues directement auprès des usagers ne sont guère supérieures à deux, la différence étant comblée par des prélèvements fiscaux ou parafiscaux tel que le versement transport (VT).

Hormis le CO2 dont il est illusoire de vouloir réduire la teneur dans l'atmosphère avant l'épuisement des réserves d'énergies fossiles, toutes les émissions de polluants locaux par les véhicules routiers, grâce à l'irruption de l'électronique,

ont été divisées depuis vingt ans par des facteurs variant de 10 à 1'000 ou plus selon les produits. Contrairement à une opinion presque unanime les relevés d'organismes tels que AIRPARIF montrent que l'air que nous respirons dans nos grandes villes est en conséquence plus pur qu'il ne l'a jamais été depuis le XIXe siècle, et les façades de nos monuments restent claires lorsqu'elles sont ravalées.

Christian Gerondeau en conclut :

Le recours aux transports ferrés et publics n'a au total aucun impact particulièrement favorable à l'environnement, qu'il soit local ou planétaire, alors que c'est devenu là l'argument omniprésent mis en avant pour justifier un accroissement sans limite des dépenses en leur faveur.

A la fin de ce chapitre consacré à la décroissance verte, Christian Gerondeau livre les coûts, établis par Rémy Prud'homme, du Grenelle de l'environnement : 20,5 milliards d'euros par an, se traduisant par une perte de pouvoir d'achat de 44 milliards...

Christian Gerondeau, par ce livre écologiquement incorrect, qui fourmille d'arguments chiffrés - dont je n'ai livré qu'une petite part pour mettre l'internaute en appétit -, lutte contre la désinformation qui règne en maîtresse aujourd'hui et qui ne peut que conduire à des gaspillages insensés. Il compare le mythe planétaire du CO2 à celui qui a conduit à la condamnation de Galilée.

La grosse différence est que Galilée avait raison mais était incapable d'en apporter la preuve (voir mon article sur La vérité sur l'affaire Galilée, d'Aimé Richardt ) et manquait d'arguments convaincants pour sa théorie, alors qu'aujourd'hui c'est tout le contraire contre la religion écologiste. Il faudra bien qu'un jour les yeux se dessillent devant la vérité qu'on leur cache.

Francis Richard 
 

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12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 19:45

Le Heartland Institute ( ici ) a organisé les 8, 9 et 10 mars 2009 à New York une deuxième Conférence internationale sur le Changement climatique. Bien entendu la grande presse s'est bien gardée de parler de cette Conférence pour la mauvaise raison qu'elle n'est pas climatologiquement correcte.

 

Elle ne bénéficie pas de subventions gouvernementales, ni d'un soutien conséquent de la part des entreprises privées, qui, courageuses mais pas téméraires, préfèrent ne pas encourir les foudres des media dominants. Aussi le soutien de ces dernières  ne représente-t-il que 16% des ressources de l'Institut ( ici ), ressources cependant en progression exponentielle. 

Avec peu de moyens, en comparaison de ceux du GIEC - qui a réussi à imposer son credo-catastrophe dans la plupart des media - cette Conférence a réuni cette année 700 participants, c'est-à-dire près du double de participants par rapport à la première cuvée de l'an dernier à la même époque. C'est dire que malgré le black-out quasi total des media sur ses travaux, le scepticisme climatique ne s'essoufle pas, loin s'en faut. Il pourrait même prendre une grande ampleur quand la politique d'Obama en la matière aura produit tous ses effets néfastes.

Au passage je souligne, à l'intention des Dissidents de Genève ( ici ) (1), s'ils ne le savent pas, que le Heartland  Institute mène le même combat qu'eux pour la liberté de fumer et contre les prétendus ravages de la fumée passive (ici ), ravages qui justifient de faire accepter par le bon peuple - ou de lui imposer - des mesures de plus en plus liberticides, ravages dont le Pr Molimard, tabacologue éminent, a tout simplement démontré l'inexistence (voir mon article Le Pr Molimard dit tout ce que vous devriez savoir sur le tabagisme ).

L'actuel président de l'Union Européenne, le président tchèque Vaclav Klaus, a honoré la Conférence de sa présence. Le dimanche 8 mars au soir il a prononcé un discours dont voici des extraits significatifs ( ici ) :

A propos des environnementalistes : 

"Their true plans and ambitions: to stop economic development, and return mankind centuries back."

"Leurs vrais plans et ambitions : stopper le développement économique, et faire retourner l'humanité des siècles en arrière"

A propos des alarmistes du réchauffement climatique : 

They "are interested neither in temperature, carbon dioxide, competing scientific hypotheses and their testing, nor in freedom or markets. They are interested in their businesses and their profits--made with the help of politicians."

"Ils ne sont intéressés ni par la température, le CO2, les hypothèses scientifiques concurrentes et leur expérience, ni par la liberté ou les marchés. Ils sont intéressés par leurs affaires et leurs profits -- réalisés avec l'aide des politiciens."

Il a conclu sous les ovations :

"It is evident that the environmentalists don't want to change the climate. They want to change our behavior ... to control and manipulate us."

"Il est évident que les environnementalistes ne veulent pas changer le climat. Ils veulent changer notre comportement... pour nous contrôler et nous manipuler."

Ces fortes paroles prennent un relief tout particulier dans sa bouche, lui qui est rentré au pays au moment du Printemps de Prague (1968) et a subi le joug soviétique jusqu'à la Révolution de Velours (1989).

Francis Richard

(1) Selon la presse ( ici ) la Société des Cafetiers, restaurateurs et hôteliers et les Dissidents de Genève ont obtenu 12'000 signatures - 7'000 signatures suffisaient - pour que le peuple se prononce à l'automne sur un assouplissement - calqué sur la loi fédérale - des mesures anti-tabac dans la République de Genève, votées en janvier par le Grand Conseil.

L'internaute intéressé pourra lire ( ici ) le discours inaugural de la Conférence prononcé par Joseph Blast, le président  du Heartland Institute.


PS du 16 mars 2009

C'est finalement 14458 signatures qui ont été recueillies pour le référendum "Halte aux interdits" par la Société des Cafetiers, restaurateurs et hôteliers et les Dissidents de Genève ! Toutes mes félicitations à ces valeureux défenseurs des libertés ( ici )  !

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6 janvier 2009 2 06 /01 /janvier /2009 21:15

La réponse est NON.

Tous les gouvernements de la planète, qui financent cette monstruosité onusienne technocratique qu'est le GIEC, ont mis tous leurs oeufs dans le même panier. Ils s'apprêtent à lutter à grands frais - c'est-à-dire à nos frais - contre les émissions de CO2 d'origine humaine, qui seraient la cause du problématique réchauffement climatique, dont on nous rebat les oreilles depuis trop longtemps.

 

Alors que gouverner c'est prévoir, ces gouvernements de la planète n'envisagent pas d'autre scénario que celui-là. Comme le disait Serge Galam dans son livre Les scientifiques ont perdu le Nord , ils prennent ainsi une lourde responsabilité devant l'humanité. Certains de leurs soutiens n'hésitent pas, paradoxalement, à qualifier ceux qui refusent le dogme du réchauffement anthropogénique de criminels contre l'humanité. Sans rire. Il faut dire que ce n'est pas l'humour qui étouffe ces sectaires d'un nouveau genre ...

 

Le grand climatologue français, Marcel Leroux, en son temps, a montré que le CO2 ne pouvait être la cause d'un hypothétique réchauffement climatique. Il ne pouvait éventuellement qu'en être un effet (voir mon article Mort du climatologue dissident Marcel Leroux ). De plus, un autre scientifique, suisse cette fois, Jacques Lévy, faisait remarquer que la part humaine dans les émissions de CO2 était minime (voir mon article La note discordante de Jacques Lévy sur le réchauffement  ) et ne pouvait donc pas être l'éventuelle explication.

 

Sans tomber dans le travers des affidés du réchauffement, qui font flèche de tout bois pour justifier leur croyance, le refroidissement que nous connaissons en ce moment pourrait bien être le signe annonciateur du scénario envisagé par des scientifiques qui n'ont pas la faveur des média et qui, eux, se basent sur l'observation. Pourtant les média, toujours à l'affût de catastrophes, qui assurent leur gagne-pain, pourraient en faire leurs choux gras, très gras. Mais ce serait reconnaître qu'ils se sont une nouvelle fois mis le doigt dans l'oeil. Par cupidité ...

 

En effet le scénario envisagé par ces scientifiques serait celui d'un refroidissement climatique, beaucoup plus alarmant en réalité que le réchauffement annoncé à cors et à cris. Pour ma part j'espère que les scientifiques en question se trompent. Seulement, à la différence des pseudo-scientifiques du GIEC, ils ne se basent pas sur des modèles informatiques incapables de rendre compte de la complexité des paramètres climatiques. Ce qui ne laisse pas de m'inquiéter.

Le site Pensée Unique ici ) - dont la devise est : "En matière de Sciences le scepticisme est un devoir" - consacre depuis des mois un dossier sur le thème "Préparons nous au refroidissement"( ici ), qu'il met à jour régulièrement. Trois sortes d'études conduisent à la probabilité d'un refroidissement :  l' "analyse statistique sur l'évolution de la température de la planète sur de longues périodes précédant l'époque actuelle", "l'évolution des températures océaniques" et "le déclin éruptif des cycles solaires". L'ennui est que toutes ces études convergent vers des résultats diamétralement opposés à ceux du GIEC.

L'analyse statistique montre qu'il n'y a pas corrélation entre le taux de CO2 et l'évolution de la température de la planète, ce dont nous nous doutions. Effectuée par des savants américains aussi bien que par des savants russes, l'analyse statistique  fait apparaître des cycles de température de la planète d'une périodicité de 60 à 70 ans. En prolongeant les courbes de ces cycles nous serions à la veille d'un refroidissement...

L'évolution des températures océaniques va elle aussi dans le sens d'un refroidissement. D'une part l'oscillation pacifique multidécennale a rejoint la Niña : ce qui serait le signe d'un refroidissement de la planète pour les 20 ou 30 prochaines années. D'autre part l'oscillation atlantique multidécennale, prise en compte récemment par les ordinateurs du GIEC, qui a du coup revu ses projections à la baisse, devrait se traduire par une stabilisation de la température, voire un refroidissement pendant au moins une dizaine d'années dans la partie du globe, où elle se manifeste, ce quelle que soit l'évolution du taux de CO2 !

Quant au déclin éruptif des cycles solaires, il devrait se traduire par un refroidissement sans doute intense sur toute la planète. En effet les cycles solaires ont une périodicité de 11 ans. L'observation des cycles solaires de 1700 jusqu'à 2008 montre que les cycles solaires où l'activité éruptive est faible correspondent à des périodes de baisse de température. De même, plus longue est l'attente de la montée en puissance du cycle suivant, plus faible est l'intensité de ce dernier : l'actuel cycle solaire - le cycle 23 - s'éternise et l'activité éruptive est nulle depuis plus d'une année...

Sur le site Pensée Unique, l'internaute intéressé pourra avoir des détails sur ces différentes approches. Il se rendra compte que les vrais scientifiques ne sont pas pétris de certitudes et que, prudemment, ils parlent de probabilités. Encore une fois j'espère sincèrement qu'ils se trompent quand ils envisagent un refroidissement climatique, auquel malheureusement nos gouvernants ne nous préparent pas, parce qu'ils croient dur comme fer que le GIEC est infaillible.
Ou peut-être cela les arrangent-ils...


Francis Richard


PS

Il existe même des sites qui pensent que le refroidissement est déjà arrivé tel IceAgeTV  (
ici ), qui se présente comme la télé de tous les frissons :



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  • : Ce blog se veut catholique, national et libéral. Catholique, il ne s'attaque pas aux autres religions, mais défend la mienne. National, il défend les singularités bienfaisantes de mon pays d'origine, la France, et celles de mon pays d'adoption, la Suisse, et celles des autres pays. Libéral, il souligne qu'il n'est pas possible d'être un homme (ou une femme) digne de ce nom en dehors de l'exercice de libertés.
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  • De formation scientifique (EPFL), économique et financière (Paris IX Dauphine), j'ai travaillé dans l'industrie, le conseil aux entreprises et les ressources humaines, et m'intéresse aux arts et lettres.
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